Mais la chute des Bourses européennes n'est pas la seule conséquence du krach chinois. Ce jeudi 7 janvier 2016 le pétrole a atteint un niveau bas que l'on n'avait plus vu depuis 2002, il y a 14 ans de ça. A cette époque le pétrole avait souffert de l'attaque du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis.
Le baril de Brent et le baril de WTI ont tous deux perdu plus de 1% en Bourse à l'ouverture atteignant, en baisse, la barre des 33 dollars. Le Brent a chuté à 32,89 dollars tandis que le WTI s'en sortait un peu moins bien à 32,66 dollars. De quoi conforter les prévisions du PDG de British Petroleum, Bob Dudley.
Ce dernier, dans une interview à la BBC, a déclaré mardi 5 janvier 2016 que le pétrole aurait connu un niveau historiquement bas durant le premier trimestre 2016 avant de se stabiliser en fin d'année et de reprendre une tendance haussière en 2017. La première de ces trois prévisions s'est donc déjà réalisée.
Mais la question centrale pour le pétrole reste la guerre que mène l'Arabie Saoudite contre les Etats-Unis et son gaz de schiste. Les prix bas sont en effet artificiellement maintenus tels par l'OPEP qui refuse de baisser sa production. D'un autre côté, les Etats-Unis ont annoncé vouloir recommencer à exporter du pétrole et l'Iran, sous embargo jusqu'en 2015, a vu ses sanctions être levées et devrait également inonder le marché dans les années à venir.
Le baril de Brent et le baril de WTI ont tous deux perdu plus de 1% en Bourse à l'ouverture atteignant, en baisse, la barre des 33 dollars. Le Brent a chuté à 32,89 dollars tandis que le WTI s'en sortait un peu moins bien à 32,66 dollars. De quoi conforter les prévisions du PDG de British Petroleum, Bob Dudley.
Ce dernier, dans une interview à la BBC, a déclaré mardi 5 janvier 2016 que le pétrole aurait connu un niveau historiquement bas durant le premier trimestre 2016 avant de se stabiliser en fin d'année et de reprendre une tendance haussière en 2017. La première de ces trois prévisions s'est donc déjà réalisée.
Mais la question centrale pour le pétrole reste la guerre que mène l'Arabie Saoudite contre les Etats-Unis et son gaz de schiste. Les prix bas sont en effet artificiellement maintenus tels par l'OPEP qui refuse de baisser sa production. D'un autre côté, les Etats-Unis ont annoncé vouloir recommencer à exporter du pétrole et l'Iran, sous embargo jusqu'en 2015, a vu ses sanctions être levées et devrait également inonder le marché dans les années à venir.