Evan Gold, analyste sénior du cabinet Planalytics, compagnie spécialisée dans le calcul de risques liés aux intempéries, estime que le froid aura affecté quelques 200 millions de personnes, que ce soit directement ou indirectement, notamment par l’annulation des vols. Les principales compagnies aériennes, par exemple, auront effacé près de 20 000 vols, avec une perte nette entre 50 et 100 millions de dollars. Au total, économiquement, la destruction de valeur est similaire à celle de l’ouragan Sandy.
Bien entendu, L’ouragan Sandy avait également détruit des biens matériels pour une valeur estimée à 65 milliards de dollars, ce que le froid de ce début 2014 n’a, heureusement, pas fait. Et, comme le note Evan Gold, les 5 milliards de dollars qu’aura coûtés le grand froid n’équivalent qu’à un septième ou un huitième de la production des Etats-Unis en une journée. Sur l’année, elle est estimée à près de 15 000 milliards de dollars.
Le grand froid a contraint de nombreux parents à rester à la maison, ne pouvant trouver d’alternative aux écoles fermées. Et même en cas de travail à la maison, la productivité en aura pris un coup estime Tony Madden, économiste pour la Banque de la Réserve Fédérale de Minneapolis.
Les assureurs, de leur côté, n’ont pas encore commencé à faire leurs calculs mais Robert Hartwig, président de l’Institut d’Information des Assurances à New York, est serein : les assureurs prévoient des dommages pour 1,4 milliard de dollars à cause des tempêtes de l’hiver pour chaque année.
Bien entendu, L’ouragan Sandy avait également détruit des biens matériels pour une valeur estimée à 65 milliards de dollars, ce que le froid de ce début 2014 n’a, heureusement, pas fait. Et, comme le note Evan Gold, les 5 milliards de dollars qu’aura coûtés le grand froid n’équivalent qu’à un septième ou un huitième de la production des Etats-Unis en une journée. Sur l’année, elle est estimée à près de 15 000 milliards de dollars.
Le grand froid a contraint de nombreux parents à rester à la maison, ne pouvant trouver d’alternative aux écoles fermées. Et même en cas de travail à la maison, la productivité en aura pris un coup estime Tony Madden, économiste pour la Banque de la Réserve Fédérale de Minneapolis.
Les assureurs, de leur côté, n’ont pas encore commencé à faire leurs calculs mais Robert Hartwig, président de l’Institut d’Information des Assurances à New York, est serein : les assureurs prévoient des dommages pour 1,4 milliard de dollars à cause des tempêtes de l’hiver pour chaque année.