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Sans surprise, mais après un vote somme toute serré, l'Assemblée nationale a validé la loi de finances du budget 2016. En tout cas la première partie puisqu'il restera encore aux députés de légiférer sur la loi de finances de la sécurité sociale et surtout sur la deuxième partie de la loi de finances du budget. Cette dernière est la plus complexe puisqu'elle concerne les dépenses de l'Etat.
Par 277 voix pour, 247 voix contre et 32 abstentions, l'Assemblée a donc confirmé, entre autres, la nouvelles baisse de l'impôt sur le revenu des ménages. Une baisse de 2,1 milliards d'euros qui devrait bénéficier à 8 millions de ménages en France. Ce sont toujours les ménages les plus modestes qui sont visés, le gouvernement espérant ainsi relancer la consommation dans le pays.
Le PLF 2016 se fonde toutefois sur une estimation de croissance pour la France plutôt optimiste : 1,5% en 2015. Si tout se passe comme le prévoit le gouvernement, le déficit public du pays devrait baisser à 3,3% en 2016. C'est ce qu'avait promis la France à la Commission Européenne qui demande depuis des années au pays de rentrer dans les clous du Pacte de Stabilité. Ce dernier prévoit un déficit de 3% maximum pour les pays membres de l'Union Européenne, chose que la France ne réussit pas à obtenir depuis des années.
A noter que le texte prévoit aussi une réduction des dotations des collectivités locales. Elles baissent de 3,7 milliards d'euros ce qui risque de poser problème aux plus petites communes déjà surendettées.
Par 277 voix pour, 247 voix contre et 32 abstentions, l'Assemblée a donc confirmé, entre autres, la nouvelles baisse de l'impôt sur le revenu des ménages. Une baisse de 2,1 milliards d'euros qui devrait bénéficier à 8 millions de ménages en France. Ce sont toujours les ménages les plus modestes qui sont visés, le gouvernement espérant ainsi relancer la consommation dans le pays.
Le PLF 2016 se fonde toutefois sur une estimation de croissance pour la France plutôt optimiste : 1,5% en 2015. Si tout se passe comme le prévoit le gouvernement, le déficit public du pays devrait baisser à 3,3% en 2016. C'est ce qu'avait promis la France à la Commission Européenne qui demande depuis des années au pays de rentrer dans les clous du Pacte de Stabilité. Ce dernier prévoit un déficit de 3% maximum pour les pays membres de l'Union Européenne, chose que la France ne réussit pas à obtenir depuis des années.
A noter que le texte prévoit aussi une réduction des dotations des collectivités locales. Elles baissent de 3,7 milliards d'euros ce qui risque de poser problème aux plus petites communes déjà surendettées.