Tout est dans le vert pour BNP Paribas
Les résultats de la banque BNP Paribas pour le quatrième trimestre 2022 ont presque dépassé les attentes, et sont dans tous les cas un record : 2,15 milliards d’euros de bénéfice net sur les trois derniers mois de l’année. Ils se cumulent avec les trois autres trimestres également marqués par des résultats exceptionnels, ce qui permet à BNP Paribas d’établir un nouveau record.
Le groupe enregistre, sur l’ensemble de l’année, un bénéfice net de 10,2 milliards d’euros, en hausse de 7,5% sur un an. Et la banque s’attend à ce que les difficultés ne soient pas à l’ordre du jour pendant plusieurs années, au contraire. Pour la période 2023-2025, BNP Paribas a revu à la hausse ses objectifs, avec un bénéfice net qui devrait croître de 9% par an, contre 7% attendus précédemment.
Le groupe enregistre, sur l’ensemble de l’année, un bénéfice net de 10,2 milliards d’euros, en hausse de 7,5% sur un an. Et la banque s’attend à ce que les difficultés ne soient pas à l’ordre du jour pendant plusieurs années, au contraire. Pour la période 2023-2025, BNP Paribas a revu à la hausse ses objectifs, avec un bénéfice net qui devrait croître de 9% par an, contre 7% attendus précédemment.
Près de 1.000 postes supprimés en France
Le succès et les gains de l’année 2022 n’empêchent toutefois pas BNP Paribas d’annoncer des suppressions de postes. La filiale BNP Paribas Personal Finance est directement touchée : dédiée aux crédits à la consommation, elle fait les frais du risque prévisionnel d’une baisse du marché, sur fond de craintes pour le futur et inflation élevée.
Le groupe devrait donc, selon les syndicats, supprimer 921 postes en France, soit près de 20% des 5.142 postes que compte la filiale ciblée. Ce qui reste, malgré tout, une goutte d’eau par rapport aux plus de 190.000 salariés dans le monde, dont plus d’un quart en France.
Le groupe devrait donc, selon les syndicats, supprimer 921 postes en France, soit près de 20% des 5.142 postes que compte la filiale ciblée. Ce qui reste, malgré tout, une goutte d’eau par rapport aux plus de 190.000 salariés dans le monde, dont plus d’un quart en France.