La France un cran derrière l'Espagne
La France, poids lourd du tourisme en Europe et dans le monde, ça se confirme avec les chiffres pour 2022 donnés par Atout France. Selon l'agence, à la fin du mois de décembre, les recettes du tourisme international dans l'Hexagone sont en hausse de 1,2 milliard par rapport au niveau de 2019. En tout, les touristes étrangers ont dépensé 57,9 milliards d'euros, ce qui constitue un nouveau record en la matière.
En Europe, l'Espagne demeure toutefois une place forte imprenable puisqu'en novembre, le pays avait déjà cumulé 64,8 milliards d'euros de recettes provenant du tourisme international. Malgré tout, difficile de faire la fine bouche pour un résultat qui s'explique par « le retour des clientèles européennes et des Américains mais aussi par l’inflation qui augmente mécaniquement les recettes en valeur », décrit le bilan.
En Europe, l'Espagne demeure toutefois une place forte imprenable puisqu'en novembre, le pays avait déjà cumulé 64,8 milliards d'euros de recettes provenant du tourisme international. Malgré tout, difficile de faire la fine bouche pour un résultat qui s'explique par « le retour des clientèles européennes et des Américains mais aussi par l’inflation qui augmente mécaniquement les recettes en valeur », décrit le bilan.
La Chine s'ouvre de nouveau au tourisme international
Les touristes belges sont friands de la France, ils ont dépensé 7,3 milliards d'euros dans le pays. L'Allemagne suit avec 6,5 milliards, puis le Royaume-Uni avec 6,2 milliards. En cinquième place, les États-Unis avec 5,6 milliards. L'agence observe avec intérêt la réouverture des frontières chinoises, tandis que d'autres marchés lointains (Inde, Corée du Sud, Australie) montrent des signes de croissance dans les prochains mois.
Le trafic aérien demeure néanmoins toujours un cran en-dessous de ce qu'il était avant la crise sanitaire : « il est, sur l’ensemble de l’année encore en recul de 31 % par rapport à 2019, essentiellement en raison de la faiblesse des flux en provenance d’Asie ». Les bonnes nouvelles devraient néanmoins être au rendez-vous sur ce point en 2023.
Le trafic aérien demeure néanmoins toujours un cran en-dessous de ce qu'il était avant la crise sanitaire : « il est, sur l’ensemble de l’année encore en recul de 31 % par rapport à 2019, essentiellement en raison de la faiblesse des flux en provenance d’Asie ». Les bonnes nouvelles devraient néanmoins être au rendez-vous sur ce point en 2023.
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