C’est un nouveau coup dur pour l’emploi en France dans le domaine de l’automobile même si cela aurait pu être pire. La filiale Renault Trucks de Volvo va se séparer de 506 employés soit 6% des effectifs du groupe qui compte 8 900 salariés. Une suppression de postes qui était attendue à la suite de l’annonce du plan de restructuration mondial visant à réduire de 4 400 postes les effectifs totaux de Volvo qui compte 54 000 employés dans le monde.
Cette suppression d’emplois va toucher toutes les catégories des cadres et techniciens aux agents de réalisation ; mais il devrait épargner les ouvriers et les commerciaux.
De même, toutes les usines Renault Trucks de France ne seront pas impactées. Si celles de Lyon, Bourg-en-Bresse et Blainville-sur-Orne verront leurs effectifs réduits, l’usine de Limoges devrait être exempte de suppressions d’emplois selon le plan dévoilé par la direction. Mais l’impact exact sur chaque usine ne sera connu que le 19 mars 2014.
En plus de cela, Renault Trucks devrait se séparer de quelques centaines de consultants comme elle l’a déjà fait en 2013 une fois lancée la nouvelle gamme de camions, mais il ne s’agit pas là d’emplois directs.
Les syndicats et la direction vont entamer les discussions le 12 mars 2014. Les syndicats espèrent trouver un accord assez intéressant « pour que seuls des volontaires quittent l’entreprise ».
Cette suppression d’emplois va toucher toutes les catégories des cadres et techniciens aux agents de réalisation ; mais il devrait épargner les ouvriers et les commerciaux.
De même, toutes les usines Renault Trucks de France ne seront pas impactées. Si celles de Lyon, Bourg-en-Bresse et Blainville-sur-Orne verront leurs effectifs réduits, l’usine de Limoges devrait être exempte de suppressions d’emplois selon le plan dévoilé par la direction. Mais l’impact exact sur chaque usine ne sera connu que le 19 mars 2014.
En plus de cela, Renault Trucks devrait se séparer de quelques centaines de consultants comme elle l’a déjà fait en 2013 une fois lancée la nouvelle gamme de camions, mais il ne s’agit pas là d’emplois directs.
Les syndicats et la direction vont entamer les discussions le 12 mars 2014. Les syndicats espèrent trouver un accord assez intéressant « pour que seuls des volontaires quittent l’entreprise ».