Diffuser Internet dans le monde entier, et particulièrement dans les endroits les plus reculés de la planète. Space X n’est désormais plus seule dans ce projet. Le géant du web, Google, vient d’investir un milliard de dollars dans l’entreprise d’Elon Musk, via le fonds d’investissement Fidelity.
Alors qu’au départ, seul Google était pressenti dans ce projet, c’est avec Fidelity que le géant de l’Internet se lance dans ce projet. Ensemble, ils vont détenir 10 % de la société d’Elon Musk. Au total, grâce à ce nouvel investissement, SpaceX est valorisée désormais à plus de 10 milliards de dollars.
Cet investissement de la dernière heure ne concerne pas seulement le projet de l’Internet pour tous, mais l’ensemble des activités de Space X, qui est à la base spécialisé dans la fabrication de fusées, une initiative qui concurrence sérieusement la NASA, du fait de ses coûts bien moins élevés. Google est déjà investi dans la propagation d’Internet dans le monde, notamment grâce à ses fameux ballons Loon, qui servent de relais.
Rien à voir avec les tarifs de publicité de la Coupe du Monde de football, par exemple. Alors que 30 secondes de publicité se négociaient 257 000 euros sur TF1, pour la finale du dernier mondial, on parle pour le Super Bowl de 150 000 dollars, soit 129 000 euros à la seconde ! Il faut dire que le Super Bowl, aux Etats-Unis, c’est un peu la grand messe du sport.
Suivi par plus de 100 millions de personnes dans le monde, le Super Bowl enchaîne les records. L’édition 2015 se tiendra à partir du 1er février prochain, et déjà les chiffres donnent la couleur de l’évènement. Pour obtenir un espace publicitaire de 30 secondes, la durée normale d’une pub à la télévision, il faudra débourser pas moins de 4,5 millions de dollars, soit 3,9 millions d’euros.
En conséquence, certaines marques se sont désistées et ont abandonné la compétition. Les traditionnelles publicités de Volkswagen, qui peine d’ailleurs à s’implanter aux Etats-Unis bien qu’il ait vendu 10 millions de voitures dans le monde, et General Motors, ne seront pas à l’ordre du jour pour la prochaine compétition. A l’inverse de Lexus, qui a dévoilé ses premières publicités spécial Super Bowl.
Pour pallier à cette hausse des prix, certaines marques ont eu enfin l’idée de mutualiser le spot, ce qu’on appelle la publicité participative. A l’image de la bière Newcastle Brown Ale, très populaire aux Etats-Unis, qui partagera son écran publicitaire avec d’autres marques.
D'où un constat, sévère pour l'Afrique du Sud. Le moratoire décrété en 2009 n'a servi à rien, à part décupler la chasse illégale de ces animaux menacés aujourd'hui d'extinction. Pour tenter de calmer le jeu, le pays, principal pourvoyeur de rhinos sur le marché noir, veut proposer lors de la prochaine conférence CITES, en 2016, une légalisation du commerce des cornes.
La conférence CITES est une organisation qui rassemble près de 180 Etats dans le monde, pour légiférer sur le commerce international des espèces animales menacées d'extinction. Le sujet crée déjà des vagues chez les militants pour la cause animale, qui voient en sous-main une basse manoeuvre du lobby pro-business des cornes de rhinos.
Pourtant l'Afrique du Sud veut mettre les choses au clair : légiférer sur le commerce des cornes permettrait d'épargner ces animaux, qui ne seraient alors pas tués. En clair, poursuivre ce business juteux en épargnant la vie des rhinocéros (dont les cornes repoussent avec le temps). Chacun devrait y trouver son compte...
L’aide internationale se mobilise pour contrer le virus Ebola, qui fait des ravages en Afrique de l’Ouest. Dans un communiqué, le Conseil des ministres du Koweït a annoncé ce mardi avoir décidé de donner cinq millions de dollars à l’Organisation Mondiale de la Santé, en première ligne pour tenter de contenir le virus Ebola, pour lequel il n’existe encore aujourd’hui aucun remède.
Une donation décidée par l’émir du pays, le cheikh Sabah al-Ahmad Al-Sabah, qui souhaite « faire face à la propagation de cette grave épidémie ». Dans le même temps, l’OMS discute actuellement à Genève de la pertinence d’une utilisation de traitements expérimentaux contre le virus Ebola. L’épidémie actuelle est la plus grave depuis la découverte de la maladie en 1976.
Actuellement Ebola a tué plus de 1 000 personnes sur les 1 779 cas confirmés, suspectés ou probables, en Afrique de l’Ouest. L’état d’urgence a été décrété en Sierra Leone et au Nigeria. Le Liberia, un autre pays contaminé, a mis en quarantaine trois provinces affectées par le virus. Quant à la Guinée, elle a déclaré avoir pris des mesures visant à contrôler les mouvements de personnes aux frontières, pour éviter une propagation rapide de la maladie.
Le groupe de Redmond a perdu énormément d’argent à cause d’un produit… qui se vend bien ! Un comble ! En effet, la concurrente de la PlayStation 4 s’est écoulée depuis son lancement le 22 novembre 2013, à 11,7 millions d’exemplaires dans le monde. Après des débuts chaotiques du fait d’un prix très, trop, élevé, la Xbox One a finalement bien rattrapé son retard.
Des chiffres qui ont ainsi rapporté à Microsoft un joli chiffre d’affaires de 1,7 milliard de dollars, soit 1,26 milliard d’euros. Pas de quoi pourtant compenser les sommes investies dans la console de salon, pour son lancement. En effet, alors que la guerre des consoles fait rage, une guerre qui a déjà coûté très cher à Nintendo, les leaders du marché semblent vouloir aligner toujours plus pour battre leurs concurrents.
Ainsi, pour être sûr de battre Sony, le fabriquant de la PS4, Microsoft aura investi 2,1 milliards de dollar en production, en évènements et en marketing. Rapporté au chiffre d’affaires réalisés sur les ventes de la Xbox One, Microsoft perd donc, en net, 400 millions de dollars, soit près de 300 millions d’euros. Un chiffre toujours moins important que les pertes liées au projet Surface, la tablette-ordinateur de la marque, qui s’élèvent à 1,7 milliard de dollars.