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D'ici 2017 Areva va donc supprimer quelques 2 700 postes mais le groupe n'a pas prévu de procéder à des licenciements. La suppression des postes se fera sur la base des départs volontaires et des départs à la retraite ce qui devrait limiter la casse sociale. Mais une telle suppression d'emplois, alors que le gouvernement tente de remettre la courbe du chômage sur le droit chemin, n'est pas la bienvenue.
Dès avril 2015 le plan dévoilé par Areva pour réduire ses pertes prévoyait 3 000 à 4 000 suppressions de postes. Au total, dans le monde, d'ici 2017 le groupe devrait se séparer de 6 000 employés, mais plus de la moitié de ces suppressions devrait survenir en France.
Depuis le début de l'année Areva a enregistré quelques 800 départs volontaires ce qui explique que les départs "restants" ne soient que 2 700. Mais dans le fond rien n'a changé et le grand plan de suppression de postes va continuer.
Lors du Comité Central d'Entreprise (CCE) du groupe, prévu pour les 3 et 4 novembre 2015, les syndicats chercheront à obtenir des précisions sur les modalités des départs et les branches concernées. D'autant plus que les salariés n'apprécient guère la situation.
Guy Bruno, coordinateur CFE-CGC, avait déclaré en mai 2015 lors de l'annonce du plan de suppressions d'emplois : "Il est inadmissible que les salariés paient pour les erreurs commises par le management".
Dès avril 2015 le plan dévoilé par Areva pour réduire ses pertes prévoyait 3 000 à 4 000 suppressions de postes. Au total, dans le monde, d'ici 2017 le groupe devrait se séparer de 6 000 employés, mais plus de la moitié de ces suppressions devrait survenir en France.
Depuis le début de l'année Areva a enregistré quelques 800 départs volontaires ce qui explique que les départs "restants" ne soient que 2 700. Mais dans le fond rien n'a changé et le grand plan de suppression de postes va continuer.
Lors du Comité Central d'Entreprise (CCE) du groupe, prévu pour les 3 et 4 novembre 2015, les syndicats chercheront à obtenir des précisions sur les modalités des départs et les branches concernées. D'autant plus que les salariés n'apprécient guère la situation.
Guy Bruno, coordinateur CFE-CGC, avait déclaré en mai 2015 lors de l'annonce du plan de suppressions d'emplois : "Il est inadmissible que les salariés paient pour les erreurs commises par le management".