Michel Sapin espère que Paris deviendra la nouvelle City après le Brexit mais George Osbourne a déjà prévu un plan : baisser l'impôt sur les sociétés à 15 % afin d'attirer de nouvelles entreprises ou les convaincre de rester. Une idée qui n'a guère plu au ministre des Finances français qui l'a vivement critiquée parlant de "dumping fiscal". Mais pour l'instant, rien n'a été décidé.
Le FMI ne tient pas compte de cette éventualité dans ses prévisions publiées le 12 juillet 2016 sur la croissance française pour l'année 2017, année durant laquelle le gouvernement table sur une croissance de 1,7 %. Pour l'institution dirigée par Christine Lagarde, le Brexit devrait coûter quelques 0,25 % de croissance à la France en un an.
Le FMI, qui prévoyait déjà bien moins de croissance pour l'Hexagone que le gouvernement (1,5 % seulement), a donc coupé ses prévisions : désormais il table sur 1,25 % de croissance en France en 2017. Une croissance largement insuffisante pour que les projets du gouvernement se réalisent, en particulier celui de réduire le déficit public à 2,7 % avant la fin de l'année 2017.
Cet objectif, le FMI le considère "difficilement atteignable", à cause de la croissance bien moins élevée que celle prévue par Bercy mais également à cause des dépenses qui devraient croître de 1 % en 2017.
Le FMI ne tient pas compte de cette éventualité dans ses prévisions publiées le 12 juillet 2016 sur la croissance française pour l'année 2017, année durant laquelle le gouvernement table sur une croissance de 1,7 %. Pour l'institution dirigée par Christine Lagarde, le Brexit devrait coûter quelques 0,25 % de croissance à la France en un an.
Le FMI, qui prévoyait déjà bien moins de croissance pour l'Hexagone que le gouvernement (1,5 % seulement), a donc coupé ses prévisions : désormais il table sur 1,25 % de croissance en France en 2017. Une croissance largement insuffisante pour que les projets du gouvernement se réalisent, en particulier celui de réduire le déficit public à 2,7 % avant la fin de l'année 2017.
Cet objectif, le FMI le considère "difficilement atteignable", à cause de la croissance bien moins élevée que celle prévue par Bercy mais également à cause des dépenses qui devraient croître de 1 % en 2017.