La question de l'exploitation du gaz de schiste dont la France aurait, selon les données géologiques connues, une grande réserve sous ses pieds se heurte à la question de la transition énergétique et des énergies renouvelables. Alain Juppé en est conscient et ne prône pas une politique de l'exploitation du gaz de schiste en France similaire au boom américain (et dont les limites commencent à être atteintes).
Selon Alain Juppé il faudrait tout de même que la France "accepte un pôle d'expérimentation pour voir exactement quels sont les enjeux" de l'exploitation du gaz de schiste pour le pays. Il prône néanmoins une "croissance plus sobre" en énergies non renouvelables... faute de quoi les objectifs du gouvernement de réduction des émissions de CO2 ne seront jamais atteints.
La politique énergétique doit être une "politique de mix énergétique" en France ce qui fait à la fois allusion aux énergies renouvelables mais également au nucléaire, fortement critiqué par les écologistes également.
Pour les années à venir l'ancien ministre de Nicolas Sarkozy prévoit une "croissance circulaire" basée notamment sur le recyclage".
A noter que Nicolas Sarkozy, sous la présidence duquel un moratoire sur le gaz de schiste avait été adopté en 2011, moratoire confirmé à plusieurs reprises par la gauche une fois au pouvoir, a depuis lors changé d'avis et s'est dit favorable à une exploration et une expérimentation.
Selon Alain Juppé il faudrait tout de même que la France "accepte un pôle d'expérimentation pour voir exactement quels sont les enjeux" de l'exploitation du gaz de schiste pour le pays. Il prône néanmoins une "croissance plus sobre" en énergies non renouvelables... faute de quoi les objectifs du gouvernement de réduction des émissions de CO2 ne seront jamais atteints.
La politique énergétique doit être une "politique de mix énergétique" en France ce qui fait à la fois allusion aux énergies renouvelables mais également au nucléaire, fortement critiqué par les écologistes également.
Pour les années à venir l'ancien ministre de Nicolas Sarkozy prévoit une "croissance circulaire" basée notamment sur le recyclage".
A noter que Nicolas Sarkozy, sous la présidence duquel un moratoire sur le gaz de schiste avait été adopté en 2011, moratoire confirmé à plusieurs reprises par la gauche une fois au pouvoir, a depuis lors changé d'avis et s'est dit favorable à une exploration et une expérimentation.