L'Italie redevient en cette année 2015 le premier pays producteur de vin du monde avec une récolte qui aurait atteint, selon les déclarations faites à Bruxelles par les Etats-Membres, 48,8 millions d'hectolitres de vin. La France, avec seulement 46,45 millions d'hectolitres, repasse en deuxième position tandis que l'Espagne reste sur la troisième marche du podium avec ses 36,6 millions d'hectolitres.
Si l'Italie a pu récupérer sa place de premier producteur c'est grâce à un bond de sa production de 13% ce qui la ramène aux niveaux d'avant 2014 lorsque le pays était déjà premier au classement. L'année 2014 avait été catastrophique pour les vignobles italiens ce qui avait fortement réduit la production et permis à la France de prendre la première place.
Au contraire, en cette année 2015, ce sont les vignobles français qui ont un peu souffert : la production a chuté de 1% selon les déclarations faites à Bruxelles. Toutefois la France maintient sa première place dans le vin en termes de valeur.
Les vignobles qui ont le plus souffert en France sont le Beaujolais (25% de production en moins par rapport à 2014) et la Bourgogne (11% de production en moins).
D'un autre côté les productions des pays de l'Est sont en forte hausse avec une croissance de plus de 20 % en République Tchèque, Bulgarie et Slovénie. Mais il n'y a pas d'inquiétudes à se faire, leur production est loin d'atteindre les quantités du trio de tête.
Si l'Italie a pu récupérer sa place de premier producteur c'est grâce à un bond de sa production de 13% ce qui la ramène aux niveaux d'avant 2014 lorsque le pays était déjà premier au classement. L'année 2014 avait été catastrophique pour les vignobles italiens ce qui avait fortement réduit la production et permis à la France de prendre la première place.
Au contraire, en cette année 2015, ce sont les vignobles français qui ont un peu souffert : la production a chuté de 1% selon les déclarations faites à Bruxelles. Toutefois la France maintient sa première place dans le vin en termes de valeur.
Les vignobles qui ont le plus souffert en France sont le Beaujolais (25% de production en moins par rapport à 2014) et la Bourgogne (11% de production en moins).
D'un autre côté les productions des pays de l'Est sont en forte hausse avec une croissance de plus de 20 % en République Tchèque, Bulgarie et Slovénie. Mais il n'y a pas d'inquiétudes à se faire, leur production est loin d'atteindre les quantités du trio de tête.