Le plan de départs volontaires et de licenciements a été voté durant l'été 2016 entre la direction de SFR et les deux syndicats majoritaires, la CFDT et l'Unsa. Le plan vise à faire retrouver à SFR une bonne santé alors que le groupe ne cesse de perdre des abonnés et qu'il est en perte nette. Le plan commencera, selon les informations du journal La Croix, dès cet hiver avec à la clé une restructuration de la partie distribution de l'opérateur.
D'ici fin 2016 environ 1 000 emplois pourraient être supprimés et le plan durera jusqu'à la suppression des 5 000 emplois prévus par l'accord. Une situation que la CGT conteste depuis le début. Jeudi 13 octobre 2016 le syndicat a de nouveau appelé ses sympathisants à manifester contre le projet et a demandé aux autres organisations syndicales de se joindre à la mobilisation.
Autre point problématique : un projet d'externalisation de certains services au Maroc qui menacerait quelques 1 600 emplois supplémentaires à l'horizon de 2018. Les services seraient transférés des sous-traitants français à un sous-traitant marocain, Intelcia, que la holding luxembourgeoise de Patrick Drahi et maison-mère de SFR, Altice, est en train de racheter.
D'ici fin 2016 environ 1 000 emplois pourraient être supprimés et le plan durera jusqu'à la suppression des 5 000 emplois prévus par l'accord. Une situation que la CGT conteste depuis le début. Jeudi 13 octobre 2016 le syndicat a de nouveau appelé ses sympathisants à manifester contre le projet et a demandé aux autres organisations syndicales de se joindre à la mobilisation.
Autre point problématique : un projet d'externalisation de certains services au Maroc qui menacerait quelques 1 600 emplois supplémentaires à l'horizon de 2018. Les services seraient transférés des sous-traitants français à un sous-traitant marocain, Intelcia, que la holding luxembourgeoise de Patrick Drahi et maison-mère de SFR, Altice, est en train de racheter.