Depuis le début de l'année dernière, Pôle Emploi a procédé à 270 000 contrôles de chômeurs. 86% d'entre eux remplissent leurs obligations vis à vis de l'organisme et recherchent bel et bien du travail. 11% avaient, au moment du contrôle, déjà trouvé un emploi ou ils étaient en formation. 55% des personnes contrôlées ont su démontrer qu'elles respectaient les exigences de Pôle Emploi après une vérification de l'administration.
Sur 34% du reste des chômeurs contrôlés, 20% étaient en règle après un contact direct du conseiller de Pôle Emploi, qui a parfois donné l'impulsion qu'il fallait pour remotiver la personne à trouver un poste ou suivre une formation. Sur les derniers 14% qui ont donc été radiés, 4 personnes sur dix bénéficiaient d'une indemnisation de l'Unédic. 23% étaient tributaires du régime de solidarité. Enfin, 36% ne touchaient plus rien.
Pôle Emploi a le pouvoir de radier un chômeur de ses listes jusqu'à six mois en cas de récidive. Si un manquement est constaté, la sanction est de 15 jours, pendant lesquels le demandeur d'emploi ne touche rien. L'administration a mis en place une équipe de 200 conseillers qui contactent les chômeurs, pas nécessairement dans l'idée de les sanctionner mais plutôt pour faire le point et tenter de pousser la personne à reprendre des démarches de recherche d'emploi. Durant la campagne présidentielle, une des promesses d'Emmanuel Macron avait été de multiplier les contrôles.
Sur 34% du reste des chômeurs contrôlés, 20% étaient en règle après un contact direct du conseiller de Pôle Emploi, qui a parfois donné l'impulsion qu'il fallait pour remotiver la personne à trouver un poste ou suivre une formation. Sur les derniers 14% qui ont donc été radiés, 4 personnes sur dix bénéficiaient d'une indemnisation de l'Unédic. 23% étaient tributaires du régime de solidarité. Enfin, 36% ne touchaient plus rien.
Pôle Emploi a le pouvoir de radier un chômeur de ses listes jusqu'à six mois en cas de récidive. Si un manquement est constaté, la sanction est de 15 jours, pendant lesquels le demandeur d'emploi ne touche rien. L'administration a mis en place une équipe de 200 conseillers qui contactent les chômeurs, pas nécessairement dans l'idée de les sanctionner mais plutôt pour faire le point et tenter de pousser la personne à reprendre des démarches de recherche d'emploi. Durant la campagne présidentielle, une des promesses d'Emmanuel Macron avait été de multiplier les contrôles.