Airbus rencontre en effet des difficultés de production pour l'A380, assemblé à Toulouse, et qui intéresse beaucoup moins que prévu les compagnies aériennes. Cas emblématique : Singapour Airlines, une des premières compagnies à avoir fait voler le très gros porteur, ne renouvellera pas son contrat de leasing. La plupart des entreprises du secteur n'ont pas montré plus d'appétit pour l'avion.
Autre problème, celui de la production de l'avion militaire A400M. Le FT évoque donc un plan de restructuration qui pourrait se traduire par des licenciements. On ignore encore le volume des pertes d'emploi prévues, d'ailleurs Airbus s'est refusé à confirmer cette réduction de la voilure qui pourrait frapper Toulouse. Tom Enders, le patron du groupe aéronautique, n'a rien voulu déclarer à ce sujet.
Mais il a tout de même commencé à préparer le terrain à une mauvaise nouvelle, en évoquant l'évolution nécessaire de l'entreprise et son adaptation constante aux besoins du marché. Il a aussi indiqué qu'Airbus réfléchissait aux moyens de « réduire les coûts de structure » de la société. Voilà qui n'est pas de très bon augure pour les salariés d'Airbus.
Autre problème, celui de la production de l'avion militaire A400M. Le FT évoque donc un plan de restructuration qui pourrait se traduire par des licenciements. On ignore encore le volume des pertes d'emploi prévues, d'ailleurs Airbus s'est refusé à confirmer cette réduction de la voilure qui pourrait frapper Toulouse. Tom Enders, le patron du groupe aéronautique, n'a rien voulu déclarer à ce sujet.
Mais il a tout de même commencé à préparer le terrain à une mauvaise nouvelle, en évoquant l'évolution nécessaire de l'entreprise et son adaptation constante aux besoins du marché. Il a aussi indiqué qu'Airbus réfléchissait aux moyens de « réduire les coûts de structure » de la société. Voilà qui n'est pas de très bon augure pour les salariés d'Airbus.