(c) Shutterstock/EconomieMatin
Des perturbations, voire une paralysie du transport routier, vont poser de sérieux problèmes aux voyageurs, en pleines vacances d'automne. Un mouvement de grève frappera le trafic passager ce samedi18 octobre, et se terminera lundi aux petites heures de la journée. Ce débrayage en suit un autre qui a eu lieu entre mercredi et jeudi, où 70% des trains grandes lignes n'ont pas bougé de leurs quais. Autant dire que les Allemands sont plutôt surpris par ces grèves perlées auxquelles ils n'avaient pas connu depuis 2008.
Les grévistes (des conducteurs de locomotives) réclament une hausse de leurs salaires de 5% ainsi qu'une baisse de leur temps de travail (deux heures en moins par semaine). La direction, qui n'a pas de mot assez fort contre le syndicat GDL en pointe dans cette affaire, se dit toutefois ouverte à la négociation et a proposé une offre de sortie de crise, jugée « sans substance ».
En plus des revendications, se cache un autre enjeu d'importance pour la direction de la Deutsche Bahn : GDL est allé chassé sur les platebandes des autres syndicats représentants d'autres catégories de personnel que les conducteurs de locomotives, et la compagnie exige que GDL rentre dans le rang. Évidemment, c'est la pierre d'achoppement.
Les grévistes (des conducteurs de locomotives) réclament une hausse de leurs salaires de 5% ainsi qu'une baisse de leur temps de travail (deux heures en moins par semaine). La direction, qui n'a pas de mot assez fort contre le syndicat GDL en pointe dans cette affaire, se dit toutefois ouverte à la négociation et a proposé une offre de sortie de crise, jugée « sans substance ».
En plus des revendications, se cache un autre enjeu d'importance pour la direction de la Deutsche Bahn : GDL est allé chassé sur les platebandes des autres syndicats représentants d'autres catégories de personnel que les conducteurs de locomotives, et la compagnie exige que GDL rentre dans le rang. Évidemment, c'est la pierre d'achoppement.