La Caisse indique que l’impact de cette réforme a concerné 3,5% des allocataires, ce qui représente 455 100 personnes. 90% des familles continuent de percevoir les allocations familiales à temps plein. La Cnaf avait estimé cet impact à 505 000 familles. Le gouvernement avait présenté cette mesure comme un dispositif de « justice fiscale et sociale ».
Ce sont donc les familles les plus aisées qui ont été frappés par ce changement. Le montant des allocations qui leur ont été versées a ainsi diminué de moitié, pour les familles dont les revenus dépassent les 6 000 euros nets par mois. Pour celles qui touchent plus de 8 000 euros, les allocations ont été divisées par quatre. Rappelons qu’au delà de deux enfants à charge, les allocations sont relevées de 500 euros par enfant supplémentaire.
À l’autre bout du spectre, la Cnaf a également fait un point sur la prime d’activité, en vigueur depuis le 1er janvier de cette année. Ce dispositif, qui remplace la prime pour l’emploi et le RSA activité a été demandé par 2,3 millions d’adultes, soit 3,8 millions de personnes en tout (en comptant les enfants). Le gouvernement estimait ce nombre à 2 millions de bénéficiaires d’ici l’été.
Ce sont donc les familles les plus aisées qui ont été frappés par ce changement. Le montant des allocations qui leur ont été versées a ainsi diminué de moitié, pour les familles dont les revenus dépassent les 6 000 euros nets par mois. Pour celles qui touchent plus de 8 000 euros, les allocations ont été divisées par quatre. Rappelons qu’au delà de deux enfants à charge, les allocations sont relevées de 500 euros par enfant supplémentaire.
À l’autre bout du spectre, la Cnaf a également fait un point sur la prime d’activité, en vigueur depuis le 1er janvier de cette année. Ce dispositif, qui remplace la prime pour l’emploi et le RSA activité a été demandé par 2,3 millions d’adultes, soit 3,8 millions de personnes en tout (en comptant les enfants). Le gouvernement estimait ce nombre à 2 millions de bénéficiaires d’ici l’été.