Noël féérique pour Amazon. L'entreprise de Jeff Bezos a multiplié les ventes au cours des trois derniers mois de l'année dernière, ce qui lui permet d'engranger 1,856 milliard de dollars de bénéfice sur le trimestre (la réforme fiscale américaine votée en fin d'année a ajouté un revenu exceptionnel de 789 millions). Quant au chiffre d'affaires de plus de 60 milliards, il est de 600 millions plus élevé que ce que les analystes en attendaient.
Amazon a misé plus que jamais sur ses abonnés Prime, une formule d'abonnement mensuel qui permet aux souscripteurs de bénéficier d'une livraison plus rapide et d'un ensemble de services en ligne attractifs (notamment l'accès à la boutique de vidéo à la demande). Tout cela a par exemple permis au distributeur de capter 89% des ventes en ligne aux États-Unis pendant les cinq semaines qui ont suivi Thanksgiving. Mais ce n'est pas tout, Amazon vend aussi du service dans le nuage aux entreprises, et cette activité connait également un gros succès : Amazon Web Services représente ainsi 10% du chiffre d'affaires, contre 72% pour le commerce en ligne.
Et puis Amazon ne s'endort pas sur ses lauriers. L'entreprise a acheté l'an dernier le réseau d'épiceries haut de gamme Wholefood. Le chèque de 12,3 milliards d'euros permet de rapprocher l'activité en ligne d'Amazon avec un distributeur traditionnel, avec ce que cela suppose de synergies. Et puis il y a la volonté d'Amazon d'aller sur des marchés où on n'attend pas forcément la société, comme… l'assurance-santé, un des secteurs qui intéressent fortement le groupe de Seattle.
Amazon a misé plus que jamais sur ses abonnés Prime, une formule d'abonnement mensuel qui permet aux souscripteurs de bénéficier d'une livraison plus rapide et d'un ensemble de services en ligne attractifs (notamment l'accès à la boutique de vidéo à la demande). Tout cela a par exemple permis au distributeur de capter 89% des ventes en ligne aux États-Unis pendant les cinq semaines qui ont suivi Thanksgiving. Mais ce n'est pas tout, Amazon vend aussi du service dans le nuage aux entreprises, et cette activité connait également un gros succès : Amazon Web Services représente ainsi 10% du chiffre d'affaires, contre 72% pour le commerce en ligne.
Et puis Amazon ne s'endort pas sur ses lauriers. L'entreprise a acheté l'an dernier le réseau d'épiceries haut de gamme Wholefood. Le chèque de 12,3 milliards d'euros permet de rapprocher l'activité en ligne d'Amazon avec un distributeur traditionnel, avec ce que cela suppose de synergies. Et puis il y a la volonté d'Amazon d'aller sur des marchés où on n'attend pas forcément la société, comme… l'assurance-santé, un des secteurs qui intéressent fortement le groupe de Seattle.