Le chiffre d'affaires du groupe californien ferait rêver n'importe quelle entreprise sur la planète : 46,9 milliards de dollars engrangés en trois mois d'activité, c'est 9% de moins qu'au même trimestre de 2015. Les bénéfices s'établissent eux à 9 milliards de dollars, quant ils se montaient à 11,1 milliards il y a un an. Sur l'ensemble de l'année fiscale (qui pour Apple s'achève fin septembre), les revenus sont de 215,6 milliards, pour des profits de 45,7 milliards : c'est une première baisse annuelle en 15 ans pour les bénéfices.
Difficile de parler d'une entreprise aux abois avec de tels résultats ! Sauf qu'Apple a vendu moins d'iPhone : 45,4 millions d'unités, c'est une baisse de 5% par rapport à il y a un an. Le moindre point de pourcentage en moins a des répercussions très importantes pour le groupe, qui tire les deux tiers de son chiffre d'affaires du smartphone. Les autres postes sont aussi à la peine : 9,2 millions d'iPad, soit le plus bas niveau depuis le troisième trimestre de 2011 ; 4,9 millions de Mac, soit près de 15% en moins.
Les services sont mieux orientés : Apple y range tout ce qui est ventes d'applications, abonnements de streaming Apple Music, Apple Pay, iCloud… Cette activité a généré sur l'année fiscale 24,4 milliards de dollars, soit 24,4% de mieux qu'en 2015. Un satisfecit donc pour le constructeur qui se tourne de plus en plus vers les services. Mais pas suffisamment encore pour remonter la pente d'un iPhone en perte de vitesse.
Difficile de parler d'une entreprise aux abois avec de tels résultats ! Sauf qu'Apple a vendu moins d'iPhone : 45,4 millions d'unités, c'est une baisse de 5% par rapport à il y a un an. Le moindre point de pourcentage en moins a des répercussions très importantes pour le groupe, qui tire les deux tiers de son chiffre d'affaires du smartphone. Les autres postes sont aussi à la peine : 9,2 millions d'iPad, soit le plus bas niveau depuis le troisième trimestre de 2011 ; 4,9 millions de Mac, soit près de 15% en moins.
Les services sont mieux orientés : Apple y range tout ce qui est ventes d'applications, abonnements de streaming Apple Music, Apple Pay, iCloud… Cette activité a généré sur l'année fiscale 24,4 milliards de dollars, soit 24,4% de mieux qu'en 2015. Un satisfecit donc pour le constructeur qui se tourne de plus en plus vers les services. Mais pas suffisamment encore pour remonter la pente d'un iPhone en perte de vitesse.