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Les clients et les chauffeurs d'UberX à Marseille ont une mauvaise surprise : leur service est interdit dans la cité phocéenne. Très précisément dans le centre-ville, à l'aéroport, à la gare TGV et au port maritime. Autant d'endroits pourtant stratégiques pour UberX dont le service consiste à... transporter des passagers.
La différence entre UberX et UberPop est fondamentale ; alors que le second est illégal et faisait appel à des chauffeurs amateurs, le premier est légal (c'est un service de VTC classique) et fait appel à des chauffeurs munis de licence. Mais il semblerait que ce ne soit pas là ce qui a motivé le préfet des Bouches-du-Rhône dans sa décision.
Publié mercredi 21 octobre 2015 au soir l'arrêté préfectoral viserait plutôt à calmer de nouvelles tensions nées entre les taxis et les chauffeurs d'UberX. Ces derniers auraient pratiqué la "maraude" consistant à récupérer des clients dans la rue. Une pratique que seuls les taxis peuvent faire selon la loi.
Problème : la géolocalisation des clients et des chauffeurs, via l'application d'Uber, est légale selon le Conseil Constitutionnel. Mais la maraude elle ne l'est pas. Est-ce là ce qui a provoqué les quelques heurts du 29 septembre 2015 entre chauffeurs de taxis et chauffeurs d'Uber sur le port de Marseille ?
Le groupe Uber, toutefois, se dit étonné et est en train d'échanger avec le gouvernement pour comprendre un peu mieux la situation. Tout en espérant que ne se soit pas ouvert un nouveau front de lutte anti-Uber en France.
La différence entre UberX et UberPop est fondamentale ; alors que le second est illégal et faisait appel à des chauffeurs amateurs, le premier est légal (c'est un service de VTC classique) et fait appel à des chauffeurs munis de licence. Mais il semblerait que ce ne soit pas là ce qui a motivé le préfet des Bouches-du-Rhône dans sa décision.
Publié mercredi 21 octobre 2015 au soir l'arrêté préfectoral viserait plutôt à calmer de nouvelles tensions nées entre les taxis et les chauffeurs d'UberX. Ces derniers auraient pratiqué la "maraude" consistant à récupérer des clients dans la rue. Une pratique que seuls les taxis peuvent faire selon la loi.
Problème : la géolocalisation des clients et des chauffeurs, via l'application d'Uber, est légale selon le Conseil Constitutionnel. Mais la maraude elle ne l'est pas. Est-ce là ce qui a provoqué les quelques heurts du 29 septembre 2015 entre chauffeurs de taxis et chauffeurs d'Uber sur le port de Marseille ?
Le groupe Uber, toutefois, se dit étonné et est en train d'échanger avec le gouvernement pour comprendre un peu mieux la situation. Tout en espérant que ne se soit pas ouvert un nouveau front de lutte anti-Uber en France.