Le cabinet EY, qui scrute les implantations étrangères dans 42 pays européens (dont la Russie), a compté 5 083 projets attirés par la perspective de s’installer sur le vieux continent. Cela représente près de 218 000 emplois, mais malheureusement la France n’a pas été parmi les destinations les plus prisées des investisseurs internationaux. L’Hexagone a en effet attiré 598 projets d’implantation, soit 2% de moins qu’en 2014.
La situation de la France est telle qu’elle est le seul pays en Europe à accuser une baisse dans le top 15 des principales destinations, souligne le cabinet. Une situation pas franchement enviable alors que partout ailleurs, et tout particulièrement en Allemagne et au Royaume-Uni, les entreprises étrangères se bousculent au portillon avec respectivement 946 et 1 065 projets.
Petite consolation, les emplois créés en France représentent plus de 13 000 emplois, c’est 8% de plus que l’année précédente. En cause : la perception de la fiscalité du pays, jugée peu ou pas attractive par 72% des décideurs internationaux, ainsi que le niveau des charges sociales pour 73% d’entre eux. Sans oublier « l’inflexibilité du marché du travail » et le « climat social tendu ». Les événements des dernières semaines autour de la loi travail ne vont men arranger.
La situation de la France est telle qu’elle est le seul pays en Europe à accuser une baisse dans le top 15 des principales destinations, souligne le cabinet. Une situation pas franchement enviable alors que partout ailleurs, et tout particulièrement en Allemagne et au Royaume-Uni, les entreprises étrangères se bousculent au portillon avec respectivement 946 et 1 065 projets.
Petite consolation, les emplois créés en France représentent plus de 13 000 emplois, c’est 8% de plus que l’année précédente. En cause : la perception de la fiscalité du pays, jugée peu ou pas attractive par 72% des décideurs internationaux, ainsi que le niveau des charges sociales pour 73% d’entre eux. Sans oublier « l’inflexibilité du marché du travail » et le « climat social tendu ». Les événements des dernières semaines autour de la loi travail ne vont men arranger.