Alain Vidalies, le secrétaire d'État aux Transports, l'a annoncé dans le Journal du Dimanche : le plan, validé par François Hollande, va permettre de rénover des infrastructures autoroutières. Parmi les 50 dossiers définis — un chiffre qui peut encore évoluer —, « il y a 30 opérations routières, type échangeurs, véritablement d'intérêt pour les territoires. S'y ajoutent la création d'aires de covoiturage et des aménagements environnementaux comme des écoponts, des murs antibruit, pris en charge directement par les sociétés d'autoroutes », explique-t-il à l'hebdomadaire.
Un plan ambitieux donc, avec une facture à l'avenant puisqu'il devrait coûter 1 milliard d'euros. C'est d'ici la fin 2017 que les premiers travaux débuteront, qui permettront de créer 5 000 emplois. En attendant, il faudra entamer les discussions avec les collectivités locales qui devront mettre la main à la poche, l'objectif étant d'aboutir à des accords dès la fin du mois.
Du côté des automobilistes, Alain Vidalies prévoit des hausses des péages comprises entre 0,3 et 0,4% par an entre 2018 et 2020. « Par exemple, chez Cofiroute, l'augmentation prévue pour 2018 dans le contrat de concession est de 1,46 % ; on passerait à 1,76 %. Prévue chez d'autres à 1,15 %, elle monterait à 1,45 % », rassure-t-il. C'est l'Arafer qui sera chargé de contrôler les prix des péages.
Un plan ambitieux donc, avec une facture à l'avenant puisqu'il devrait coûter 1 milliard d'euros. C'est d'ici la fin 2017 que les premiers travaux débuteront, qui permettront de créer 5 000 emplois. En attendant, il faudra entamer les discussions avec les collectivités locales qui devront mettre la main à la poche, l'objectif étant d'aboutir à des accords dès la fin du mois.
Du côté des automobilistes, Alain Vidalies prévoit des hausses des péages comprises entre 0,3 et 0,4% par an entre 2018 et 2020. « Par exemple, chez Cofiroute, l'augmentation prévue pour 2018 dans le contrat de concession est de 1,46 % ; on passerait à 1,76 %. Prévue chez d'autres à 1,15 %, elle monterait à 1,45 % », rassure-t-il. C'est l'Arafer qui sera chargé de contrôler les prix des péages.