La Commission de régulation de l'énergie a rendu son verdict ce 27 août : elle recommande une baisse des prix des tarifs réglementés du gaz. En moyenne, la facture va baisser de 0,9% HT, mais en fonction de la consommation la nouvelle sera plus ou moins bonne. Si l'on se sert du gaz pour cuisiner et se chauffer, la baisse sur la facture sera de 0,5% en moyenne. Dans les foyers où le gaz est utilisé pour la cuisson et uniquement la cuisson, il faudra se contenter de 0,2%. Enfin, le recul est beaucoup plus intéressant pour ceux qui utilisent le gaz pour se chauffer : la baisse est alors de 1%.
Malgré ces différences en fonction de l'usage, les abonnés aux tarifs réglementés du gaz vont bénéficier d'une baisse des prix pour le dixième mois consécutif. On compte 4,5 millions de foyers français qui sont abonnés à ces tarifs gérés par Engie, qui seront certainement très heureux de payer moins cher en septembre alors que l'automne est à nos portes.
La Commission de régulation de l'énergie précise que les coûts d'approvisionnement d'Engie ont augmenté, mais que ces derniers ont été lissés via un mécanisme mis en place par le gouvernement, qui avait décidé d'une baisse moins importante que prévu au 1er juillet pour éviter les variations trop importantes cet automne. Les prix des tarifs réglementés évoluent en fonction des coûts d'approvisionnement donc, mais également en fonction des infrastructures, de la commercialisation et plusieurs taxes.
Malgré ces différences en fonction de l'usage, les abonnés aux tarifs réglementés du gaz vont bénéficier d'une baisse des prix pour le dixième mois consécutif. On compte 4,5 millions de foyers français qui sont abonnés à ces tarifs gérés par Engie, qui seront certainement très heureux de payer moins cher en septembre alors que l'automne est à nos portes.
La Commission de régulation de l'énergie précise que les coûts d'approvisionnement d'Engie ont augmenté, mais que ces derniers ont été lissés via un mécanisme mis en place par le gouvernement, qui avait décidé d'une baisse moins importante que prévu au 1er juillet pour éviter les variations trop importantes cet automne. Les prix des tarifs réglementés évoluent en fonction des coûts d'approvisionnement donc, mais également en fonction des infrastructures, de la commercialisation et plusieurs taxes.