En septembre, le chômage a reculé de 64 800 personnes inscrites en catégorie A (n'ayant pas du tout travaillé sur l'ensemble du mois). Cela représente une baisse de 1,8%, un pourcentage somme toute élevé qui permet de relativiser les mauvais résultats enregistrés en juillet et en août. Rapportée à l'ensemble du trimestre, la baisse du chômage dans cette catégorie est faible : -0,2% (soit 7 600 chômeurs de moins). En tout, la France métropolitaine comptait en septembre un total de 3 475 600 chômeurs dans la catégorie A (ou encore 3 734 100 chômeurs avec l'Outre-Mer).
Les jeunes (moins de 25 ans) sont ceux qui profitent le plus de l'embellie de la rentrée avec une baisse de 5,5%. La catégorie des 25 - 49 ans recule de 0,9% seulement. Les résultats sont moins brillants quand on regarde les autres catégories. Les demandeurs d'emploi des catégories B et C ajoutés à ceux de la catégorie A, ont ainsi reculé de 0,5% (soit 30 100 personnes de moins). Sur les trois mois de l'été, la hausse est de 1%. Et de 2,6% sur un an. Les chômeurs en activité réduite (B et C) progressent fortement en septembre (1,6%) et c'est plus sensible encore sur l'année avec +8,1%.
Muriel Pénicaud, la ministre du Travail, ne donnera son analyse de la situation du chômage que début décembre. Sa précédente analyse se basait sur les chiffres de l'Insee qui travaille selon les outils du Bureau international du travail ; l'institut des statistiques a laissé entendre que grâce à la croissance, le taux de chômage devrait reculer d'ici la fin de l'année.
Les jeunes (moins de 25 ans) sont ceux qui profitent le plus de l'embellie de la rentrée avec une baisse de 5,5%. La catégorie des 25 - 49 ans recule de 0,9% seulement. Les résultats sont moins brillants quand on regarde les autres catégories. Les demandeurs d'emploi des catégories B et C ajoutés à ceux de la catégorie A, ont ainsi reculé de 0,5% (soit 30 100 personnes de moins). Sur les trois mois de l'été, la hausse est de 1%. Et de 2,6% sur un an. Les chômeurs en activité réduite (B et C) progressent fortement en septembre (1,6%) et c'est plus sensible encore sur l'année avec +8,1%.
Muriel Pénicaud, la ministre du Travail, ne donnera son analyse de la situation du chômage que début décembre. Sa précédente analyse se basait sur les chiffres de l'Insee qui travaille selon les outils du Bureau international du travail ; l'institut des statistiques a laissé entendre que grâce à la croissance, le taux de chômage devrait reculer d'ici la fin de l'année.