Le bitcoin est ainsi repassé sous le seuil des 12 000 $, du jamais vu depuis le mois de décembre. Au plus fort de la hausse, le bitcoin avait flirté avec les 20 000 $, ce qui avait poussé certains analystes à prédire des lendemains encore plus fructueux pour la cryptomonnaie. Dans la foulée de cette « bulle », d'autres devises cryptées ont rencontré elles aussi un grand intérêt de la part des investisseurs… et de tous ceux qui espéraient réaliser une affaire juteuse.
Mais les choses ont beaucoup évolué depuis. Ce mardi 16 janvier, un coup de tabac s'est abattu sur le bitcoin cash (-15,51%), l'etherum (-12,41%) et le ripple (-19,16%). Les variations sont monnaie courante pour ces cryptomonnaies, mais la baisse ici est particulièrement sensible. La principale raison qui explique ces reculs importants tient dans un mot : régulation. Plusieurs pays ont fait part de leur volonté de durcir leur législation envers ces actifs. C'est le cas notamment en Corée du Sud et en Chine, et la France aussi a l'intention de revoir sa régulation.
En Corée du Sud, les autorités auraient voulu purement et simplement interdire les plateformes d'échange de cryptomonnaies, avant de sa raviser : il s'agit d'une des mesures envisagées… La fermeture reste donc possible. Quant à la Chine, la volonté de réguler les devises virtuelles et surtout d'interdire le « minage » du bitcoin, une activité qui consomme énormément de ressources, sont craints des investisseurs.
Mais les choses ont beaucoup évolué depuis. Ce mardi 16 janvier, un coup de tabac s'est abattu sur le bitcoin cash (-15,51%), l'etherum (-12,41%) et le ripple (-19,16%). Les variations sont monnaie courante pour ces cryptomonnaies, mais la baisse ici est particulièrement sensible. La principale raison qui explique ces reculs importants tient dans un mot : régulation. Plusieurs pays ont fait part de leur volonté de durcir leur législation envers ces actifs. C'est le cas notamment en Corée du Sud et en Chine, et la France aussi a l'intention de revoir sa régulation.
En Corée du Sud, les autorités auraient voulu purement et simplement interdire les plateformes d'échange de cryptomonnaies, avant de sa raviser : il s'agit d'une des mesures envisagées… La fermeture reste donc possible. Quant à la Chine, la volonté de réguler les devises virtuelles et surtout d'interdire le « minage » du bitcoin, une activité qui consomme énormément de ressources, sont craints des investisseurs.