Des interrogations sur le calendrier des privatisations prévues par le gouvernement ont émergé lorsque l’Agence des participations de l’État (APE) avait indiqué, en novembre dernier, que la prudence était de mise en raison de la volatilité des marchés. La vente des participations de l’État au sein d’Aéroports de Paris et de la Française des Jeux était prévue pour le printemps 2019, mais les marchés financiers ont essuyé une tempête boursière en fin d’année. Par conséquent, beaucoup commencent à s’interroger sur la viabilité de cette vente.
Bruno Le Maire a fait savoir que le calendrier des cessions d’actifs « ne changera pas » : elles auront donc bien lieu au printemps, et il n’est pas question de modifier cette fenêtre de tir. Durant ses vœux à la presse, le ministre de l’Économie et des Finances a aussi déclaré : « nous avons besoin de céder des actifs pour financer l'innovation de rupture et permettre à notre pays de rester dans la course aux nouvelles technologies ». Les ventes des participations de l’État doivent servir à alimenter un fond pour l’innovation doté de 10 milliards d’euros.
Les privatisations doivent intervenir après le vote de la loi Pacte (Plan d'action pour la croissance et la transformation des entreprises), qui a été adoptée en première lecture par l’Assemblée en octobre. Le texte sera examiné par le Sénat dans les prochains jours, le gouvernement espérant un vote final au printemps.
Bruno Le Maire a fait savoir que le calendrier des cessions d’actifs « ne changera pas » : elles auront donc bien lieu au printemps, et il n’est pas question de modifier cette fenêtre de tir. Durant ses vœux à la presse, le ministre de l’Économie et des Finances a aussi déclaré : « nous avons besoin de céder des actifs pour financer l'innovation de rupture et permettre à notre pays de rester dans la course aux nouvelles technologies ». Les ventes des participations de l’État doivent servir à alimenter un fond pour l’innovation doté de 10 milliards d’euros.
Les privatisations doivent intervenir après le vote de la loi Pacte (Plan d'action pour la croissance et la transformation des entreprises), qui a été adoptée en première lecture par l’Assemblée en octobre. Le texte sera examiné par le Sénat dans les prochains jours, le gouvernement espérant un vote final au printemps.