Des carburants toujours plus chers, c’est la perspective peu réjouissante que devront subir les automobilistes devant se rendre dans une station-service. Les prix ont encore augmenté la semaine dernière, et ce pour l’ensemble des carburants. La hausse du super sans plomb 95 (SP95) est particulièrement symbolique : le litre de SP95 a ainsi augmenté de 1,48 centime, à 1,5943 euro. Il faut remonter à 2013 pour revoir ces niveaux de prix. Le sans plomb 95 contenant jusqu’à 10% d’éthanol (SP95-E10) revient à 1,5669 euro le litre, soit une hausse de 1,56 centime.
Le litre sans plomb 98 (SP98) coûte lui 1,6551 euro, ce qui représente une hausse de 1,43 centime. Quant au gazole, il augmente également de 0,82 centime, à 1,4898 euro le litre en moyenne dans les stations-services. Le gazole, qui reste le carburant le plus vendu en France avec 80% des volumes écoulés, reste cependant encore loin de ses niveaux élevés d’octobre 2018 où il avait atteint 1,5331 euro du litre. Ce qui avait été un déclencheur du mouvement des « gilets jaunes ».
Nul doute que dans ce contexte, le gouvernement regarde de très près l’évolution des prix à la pompe, afin de ne pas relancer une crise en voie d’extinction. Les prix des carburants évoluent en fonction du niveau des stocks de produits pétroliers, de la demande et des taxes, mais aussi, bien sûr, des cours du baril.
Le litre sans plomb 98 (SP98) coûte lui 1,6551 euro, ce qui représente une hausse de 1,43 centime. Quant au gazole, il augmente également de 0,82 centime, à 1,4898 euro le litre en moyenne dans les stations-services. Le gazole, qui reste le carburant le plus vendu en France avec 80% des volumes écoulés, reste cependant encore loin de ses niveaux élevés d’octobre 2018 où il avait atteint 1,5331 euro du litre. Ce qui avait été un déclencheur du mouvement des « gilets jaunes ».
Nul doute que dans ce contexte, le gouvernement regarde de très près l’évolution des prix à la pompe, afin de ne pas relancer une crise en voie d’extinction. Les prix des carburants évoluent en fonction du niveau des stocks de produits pétroliers, de la demande et des taxes, mais aussi, bien sûr, des cours du baril.