Ces six magasins sont situés à Castelnaudary (11), Saint Grégoire (35), Dole (39) Cholet (49), Anglet (64) et Castres (81). Ils vont être repris par des adhérents Leclerc ; la valorisation totale des murs et des fonds s’établit à un peu plus de 100 millions d’euros. Ces hypermarchés, dont la revente est distincte du plan de cession d’actifs non stratégiques annoncé par Casino en juin dernier, avaient fait l’objet de marques d’intérêt de la part du groupe E. Leclerc. Casino avait annoncé sa volonté de se séparer d’un certain nombre de magasins de toutes tailles, ainsi que des Leader Price, qui sont « structurellement déficitaires ».
Ces sis hypermarchés ont généré des ventes de 150 millions d’euros l’an dernier, pour un résultat opérationnel courant dans le rouge de 8 millions d’euros environ. La transaction sera effective avant l’été. Bien sûr, il y aura auparavant une procédure de consultation des instances représentatives du personnel. Casino explique aussi que les personnels conserveront leurs postes au sein des nouveaux magasins Leclerc.
Le groupement E. Leclerc bénéficie là d’une opportunité de croître son réseau, tandis que la cession permettra à Casino d’améliorer ses performances. L’enseigne n’est pas en grande forme : en 2018, ses revenus ont reculé de 2,4% à 36,6 milliards d’euros. Toutefois, le groupe est en plein redressement : malgré le mouvement des « gilets jaunes », la croissance au quatrième trimestre a été de 1,4% (après 2% sur les trois précédents trimestres). Le volume d’affaires total, qui comprend aussi le commerce en ligne, progresse de 2,8%.
Ces sis hypermarchés ont généré des ventes de 150 millions d’euros l’an dernier, pour un résultat opérationnel courant dans le rouge de 8 millions d’euros environ. La transaction sera effective avant l’été. Bien sûr, il y aura auparavant une procédure de consultation des instances représentatives du personnel. Casino explique aussi que les personnels conserveront leurs postes au sein des nouveaux magasins Leclerc.
Le groupement E. Leclerc bénéficie là d’une opportunité de croître son réseau, tandis que la cession permettra à Casino d’améliorer ses performances. L’enseigne n’est pas en grande forme : en 2018, ses revenus ont reculé de 2,4% à 36,6 milliards d’euros. Toutefois, le groupe est en plein redressement : malgré le mouvement des « gilets jaunes », la croissance au quatrième trimestre a été de 1,4% (après 2% sur les trois précédents trimestres). Le volume d’affaires total, qui comprend aussi le commerce en ligne, progresse de 2,8%.