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Eurostat indique qu’il s’agit du second recul consécutif, après une baisse en janvier. Le taux de chômage s’établit à 11,2% en février, alors qu’il était de 11,3% au premier mois de l’année. Il s’agit du chiffre le plus bas depuis avril 2012, un signe qui démontre que l’activité est en train de reprendre un peu partout sur le vieux continent.
La France participe évidemment de la bonne tenue du taux de chômage en zone euro, avec une baisse de 0,5% en janvier. Mais le tableau, dans l’Hexagone, n’est pas aussi rose que ce résultat le laisse croire. D’une, parce que sur un an, le nombre de chômeurs a augmenté de 4,8%.
Et de deux, les prévisions de l’Insee en décembre dernier ont montré que le taux de chômage continuera à progresser en France jusqu’à mi 2015, atteignant 10,2% du total en métropole, soit 0,3 point de plus qu’au troisième trimestre 2014. Ce sera pire encore si on y ajoute l’outremer, qui pèsera pour 0,2 point supplémentaire.
La France participe évidemment de la bonne tenue du taux de chômage en zone euro, avec une baisse de 0,5% en janvier. Mais le tableau, dans l’Hexagone, n’est pas aussi rose que ce résultat le laisse croire. D’une, parce que sur un an, le nombre de chômeurs a augmenté de 4,8%.
Et de deux, les prévisions de l’Insee en décembre dernier ont montré que le taux de chômage continuera à progresser en France jusqu’à mi 2015, atteignant 10,2% du total en métropole, soit 0,3 point de plus qu’au troisième trimestre 2014. Ce sera pire encore si on y ajoute l’outremer, qui pèsera pour 0,2 point supplémentaire.