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À l’époque, le taux de chômage avait atteint le pic historique de 10,4% ! Et si l’on inclut les chiffres de l’outre-mer, ce taux devrait atteindre cet été les 10,6% — le record serait alors brisé. « On s’attend à une légère augmentation de l’emploi total, de l’ordre de 20 000 emplois. Mais la population active augmente environ de 60 000 personnes, donc on observera une hausse du taux de chômage, sur le même rythme que les trimestres précédents », a-t-on expliqué à l’Insee.
Autant dire que l’optimisme relatif du gouvernement n’est pas vraiment de mise. François Rebsamen, le ministre du Travail, avait en effet estimé que l’année 2015 serait meilleure que 2014. Visiblement, il n’en sera rien. Malgré tout, il réitère que le début de reflux aura lieu en fin d’année.
Malgré tout, tout n’est pas complètement noir pour le gouvernement. L’Institut de la statistique a calculé que la croissance au premier trimestre s’établira à 0,4%, et 0,3% au second trimestre. Des chiffres en phase avec les prévisions qui annoncent une croissance de 1% en 2015. Hélas, c’est insuffisant pour faire baisser le taux de chômage. « Tant que nous n’avons pas une croissance plus forte, autour de 1,5%, il est difficile de créer de l’emploi », indiquait Manuel Valls.
Autant dire que l’optimisme relatif du gouvernement n’est pas vraiment de mise. François Rebsamen, le ministre du Travail, avait en effet estimé que l’année 2015 serait meilleure que 2014. Visiblement, il n’en sera rien. Malgré tout, il réitère que le début de reflux aura lieu en fin d’année.
Malgré tout, tout n’est pas complètement noir pour le gouvernement. L’Institut de la statistique a calculé que la croissance au premier trimestre s’établira à 0,4%, et 0,3% au second trimestre. Des chiffres en phase avec les prévisions qui annoncent une croissance de 1% en 2015. Hélas, c’est insuffisant pour faire baisser le taux de chômage. « Tant que nous n’avons pas une croissance plus forte, autour de 1,5%, il est difficile de créer de l’emploi », indiquait Manuel Valls.