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Le président de la République a ouvert ce lundi les travaux de la quatrième conférence sociale de son mandat. S'il souhaite réformer le droit du travail, en revanche pas question de toucher aux questions qui fâchent : sic, durée légale du travail, contrat de travail…
François Hollande réclame néanmoins que chacun prenne ses responsabilités. À commencer par la CGT à qui il reproche de ne jamais s'engager au moindre accord, « tout en dénonçant les insuffisances du dialogue social ». Philippe Martinez, le patron du syndicat, a dû apprécier le message même si la CGT n'a pas été nommément citée.
Mais François Hollande en avait aussi pour la droite et le patronat, tous ceux qui pensent « qu'il faut en finir avec les partenaires sociaux, les corps intermédiaires, le paritarisme et nous en remettre aux rapports de force, à la confrontation ». Pour le président de la République, « le statu-quo n'est plus possible » ; il s'agit surtout d'accompagner les employés et leurs salariés à déterminer « d'un commun accord » les solutions les plus adaptées aux entreprises. Sans toucher aux vaches sacrées.
François Hollande réclame néanmoins que chacun prenne ses responsabilités. À commencer par la CGT à qui il reproche de ne jamais s'engager au moindre accord, « tout en dénonçant les insuffisances du dialogue social ». Philippe Martinez, le patron du syndicat, a dû apprécier le message même si la CGT n'a pas été nommément citée.
Mais François Hollande en avait aussi pour la droite et le patronat, tous ceux qui pensent « qu'il faut en finir avec les partenaires sociaux, les corps intermédiaires, le paritarisme et nous en remettre aux rapports de force, à la confrontation ». Pour le président de la République, « le statu-quo n'est plus possible » ; il s'agit surtout d'accompagner les employés et leurs salariés à déterminer « d'un commun accord » les solutions les plus adaptées aux entreprises. Sans toucher aux vaches sacrées.