L'économie française a connu une progression de 0,2% au deuxième trimestre. C'est moins que prévu par l'Insee dans se dernière note de conjoncture, c'et aussi 0,1 point de moins que durant le premier trimestre (0,3%). Le principal responsable de cette hausse modeste du PIB, c'est la consommation des ménages : celle-ci s'est contentée d'une croissance de 0,2%, contre 0,4% sur les trois premiers mois de l'année. Les Français ont pourtant bénéficié d'une hausse sensible de leur pouvoir d'achat, mais rien à faire les consommateurs privilégient toujours l'épargne.
L'Insee a relevé que la consommation avait été particulièrement faible dans les services (0,3%, contre 0,6% au premier trimestre) et les biens (stable, au lieu de 0,1% au début de l'année). Si les secteurs de l'hébergement et de la restauration ne sont pas très bien lotis, il en va un peu autrement sur le front des dépenses alimentaires : elles ne font que baisser de 0,2%, après un recul significatif au premier trimestre (-1,1%).
Les investissements des entreprises ont en revanche repris des couleurs avec une croissance de 0,9% au deuxième trimestre, qui intervient après une autre hausse de 0,5%. La fin de l'année dernière avait marqué une baisse importante des investissements en raison de la crise des « gilets jaunes ». La production est également bien orientée, avec une progression de 0,4% ; les trois trimestres précédents avaient enregistré une croissance de 0,5%. L'Insee prévoit une croissance de 1,3% pour l'ensemble de l'année ; le gouvernement espère de son côté une progression du PIB de 1,4%.
L'Insee a relevé que la consommation avait été particulièrement faible dans les services (0,3%, contre 0,6% au premier trimestre) et les biens (stable, au lieu de 0,1% au début de l'année). Si les secteurs de l'hébergement et de la restauration ne sont pas très bien lotis, il en va un peu autrement sur le front des dépenses alimentaires : elles ne font que baisser de 0,2%, après un recul significatif au premier trimestre (-1,1%).
Les investissements des entreprises ont en revanche repris des couleurs avec une croissance de 0,9% au deuxième trimestre, qui intervient après une autre hausse de 0,5%. La fin de l'année dernière avait marqué une baisse importante des investissements en raison de la crise des « gilets jaunes ». La production est également bien orientée, avec une progression de 0,4% ; les trois trimestres précédents avaient enregistré une croissance de 0,5%. L'Insee prévoit une croissance de 1,3% pour l'ensemble de l'année ; le gouvernement espère de son côté une progression du PIB de 1,4%.