Pour le quatrième trimestre 2016 la Banque de France s’attend à une croissance dans l’Hexagone de 0,4 % confirmant un regain de croissance en France. Au troisième trimestre le pays n’avait connu qu’une croissance de 0,2 % qui avait suivi un trimestre en négatif. Le quatrième trimestre 2016 s’annonce donc comme une bonne nouvelle pour le gouvernement.
Pas assez pour faire grimper la croissance annuelle au-delà de 1,4 % mais suffisant pour conforter les espoirs du gouvernement. La Banque de France constat en effet une augmentation dans les services et, surtout, dans l’hôtellerie-restauration, un secteur fortement frappé par les attentats et notamment celui de Nice du 14 juillet 2016.
Le dernier trimestre 2016 devrait également bénéficier de la hausse des ventes que connaît traditionnellement la période des fêtes de fin d’année et la croissance du pays a désormais toutes ses chances pour atteindre 0,4 % sur les trois derniers mois de l’année.
Reste que les prévisions de la Banque de France et du gouvernement sont supérieures à celles de l’Insee, du FMI ou encore de l’OCDE qui ne tablent que sur une croissance de 1,3 % pour l’année 2016 pour la France. Une croissance insuffisante pour atteindre les objectifs de créations d’emplois, de baisse du déficit et de baisse du chômage que l’exécutif s’est fixés pour l’année en cours.
Pas assez pour faire grimper la croissance annuelle au-delà de 1,4 % mais suffisant pour conforter les espoirs du gouvernement. La Banque de France constat en effet une augmentation dans les services et, surtout, dans l’hôtellerie-restauration, un secteur fortement frappé par les attentats et notamment celui de Nice du 14 juillet 2016.
Le dernier trimestre 2016 devrait également bénéficier de la hausse des ventes que connaît traditionnellement la période des fêtes de fin d’année et la croissance du pays a désormais toutes ses chances pour atteindre 0,4 % sur les trois derniers mois de l’année.
Reste que les prévisions de la Banque de France et du gouvernement sont supérieures à celles de l’Insee, du FMI ou encore de l’OCDE qui ne tablent que sur une croissance de 1,3 % pour l’année 2016 pour la France. Une croissance insuffisante pour atteindre les objectifs de créations d’emplois, de baisse du déficit et de baisse du chômage que l’exécutif s’est fixés pour l’année en cours.