La Française des Jeux a lancé une expérimentation inédite dans le Nord-Pas de Calais et en Haute-Normandie : des tickets à gratter digitaux. Le principe est simple, même s'il nécessite de passer chez le buraliste puisqu'il faut tout de même acheter un ticket à gratter « physique ». Trois jeux de la nouvelle gamme « Illiko Live » sont proposés : « La Poule aux Œufs d'Or », « As Capone », et « Sauve Souris ».
Après avoir gratté pour savoir si on a gagné (ou perdu…), le ticket présente un code barre à numériser depuis un smartphone ou une tablette. Ensuite, c'est l'application mobile de la Française des Jeux qui prendra la main, et qui proposera un autre jeu, par exemple trouver la poule qui couve un œuf en or. Le joueur a trois essais pour y parvenir et tenter de décrocher un lot supplémentaire. Si c'est le cas, retour chez le buraliste pour encaisser les gains.
Si le succès est au rendez-vous (ce qui est probable), ces jeux à gratter digitaux seront étendus à l'ensemble du territoire, sans doute d'ici la fin de l'année ou au début de l'année prochaine. La Française des Jeux a impulsé à l'automne dernier un projet ambitieux de transformation : 500 millions d'euros, où l'offre numérique occupera une grande place. À l'horizon 2020, l'objectif est d'attendre 20% de mises en numérique.
Après avoir gratté pour savoir si on a gagné (ou perdu…), le ticket présente un code barre à numériser depuis un smartphone ou une tablette. Ensuite, c'est l'application mobile de la Française des Jeux qui prendra la main, et qui proposera un autre jeu, par exemple trouver la poule qui couve un œuf en or. Le joueur a trois essais pour y parvenir et tenter de décrocher un lot supplémentaire. Si c'est le cas, retour chez le buraliste pour encaisser les gains.
Si le succès est au rendez-vous (ce qui est probable), ces jeux à gratter digitaux seront étendus à l'ensemble du territoire, sans doute d'ici la fin de l'année ou au début de l'année prochaine. La Française des Jeux a impulsé à l'automne dernier un projet ambitieux de transformation : 500 millions d'euros, où l'offre numérique occupera une grande place. À l'horizon 2020, l'objectif est d'attendre 20% de mises en numérique.