Pour l’ensemble de l’année, les entreprises ont fait part de près de deux millions de projets d’embauche, soit quasiment 150 000 de plus qu’en 2016. Le volume de ces projets est en hausse de 8,2%, alors qu’il était de 5,1% l’an dernier. Dans les emplois non saisonniers, la progression est de 10% avec 115 000 postes ; 58% de ces embauches sont des emplois durables, des CDI et des CDD de plus de six mois. C’est deux points de plus qu’en 2016.
La croissance provient notamment des petites entreprises : les établissements comprenant de 1 à 4 salariés affichent une progression de 14% de leurs projets d’embauche. Dans tous les secteurs d’activité, la hausse est notable : +22,5% dans la construction, +8,7% dans l’industrie, +9,3% dans les services aux entreprises, +5,7% dans les services aux particuliers. Pôle Emploi note également que ces projets d’embauche concernent une activité supplémentaire liée à un surcroît d’activité ou au remplacement d’un salarié.
Les chefs d’entreprise et les employeurs semblent d’ailleurs conscients de la difficulté accrue qu’ils vont rencontrer pour embaucher. Les projets d’embauche qualifiés de difficiles représentent ainsi 37,5%, c’est quasiment 5 points de plus qu’en 2016. Néanmoins, les embauches devraient se réaliser : l’an dernier, huit sur dix étaient conclues. Enfin, ce sont surtout dans les grandes métropoles et dans les axes touristiques que les employeurs ont des besoin de main d’œuvre.
La croissance provient notamment des petites entreprises : les établissements comprenant de 1 à 4 salariés affichent une progression de 14% de leurs projets d’embauche. Dans tous les secteurs d’activité, la hausse est notable : +22,5% dans la construction, +8,7% dans l’industrie, +9,3% dans les services aux entreprises, +5,7% dans les services aux particuliers. Pôle Emploi note également que ces projets d’embauche concernent une activité supplémentaire liée à un surcroît d’activité ou au remplacement d’un salarié.
Les chefs d’entreprise et les employeurs semblent d’ailleurs conscients de la difficulté accrue qu’ils vont rencontrer pour embaucher. Les projets d’embauche qualifiés de difficiles représentent ainsi 37,5%, c’est quasiment 5 points de plus qu’en 2016. Néanmoins, les embauches devraient se réaliser : l’an dernier, huit sur dix étaient conclues. Enfin, ce sont surtout dans les grandes métropoles et dans les axes touristiques que les employeurs ont des besoin de main d’œuvre.