Selon une étude de la société de gestion Janus Henderson, l’indice mondial des dividendes a explosé un nouveau record au premier trimestre. Les entreprises ont ainsi versé un total de 263,8 milliards de dollars à leurs actionnaires entre janvier et fin mars, un chiffre en progression de 7,8%. D’évidence, les entreprises gardent une entière confiance dans l’avenir et demeurent optimistes, malgré les risques que font peser la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine, ainsi que les incertitudes régionales comme le Brexit en Europe. Il faut dire que malgré ces difficultés, le taux de croissance est plus élevé qu’anticipé : les perspectives sont donc positives pour les entreprises.
Plusieurs grands groupes ont versé des dividendes exceptionnels ; c’est le cas pour Novartis, BHP Group ou encore Akzo Nobel. Le cabinet prévoit un total de 1 430 milliards de versement de dividendes sur l’année, en progression de 4,2% par rapport à 2018. Une belle croissance, mais moitié plus faible que celle enregistrée l’an dernier (+9,4%). Revers de la médaille, cette hausse des dividendes intervient dans un contexte social de plus en plus difficile, comme on l’a vu en France avec le mouvement des « gilets jaunes ».
Région par région, Janus Henderson observe que les versements de dividendes ont été modestes en Europe en France et en Allemagne, mais le premier trimestre n’est traditionnellement pas une période où les entreprises européennes attribuent des récompenses à leurs actionnaires. Malgré tout, l’Europe (hors Royaume-Uni) a versé 9,2% de dividendes en plus à 40 milliards. C’est en Asie-Pacifique où la croissance des dividendes a été la plus forte : 18,1 milliards de dollars, +14,7%. Au Royaume-Uni aussi, les entreprises ont régalé : 20,7 milliards, +10,5%. Les dividendes ont augmenté de 8,3% aux États-Unis, à 122,5 milliards.
Plusieurs grands groupes ont versé des dividendes exceptionnels ; c’est le cas pour Novartis, BHP Group ou encore Akzo Nobel. Le cabinet prévoit un total de 1 430 milliards de versement de dividendes sur l’année, en progression de 4,2% par rapport à 2018. Une belle croissance, mais moitié plus faible que celle enregistrée l’an dernier (+9,4%). Revers de la médaille, cette hausse des dividendes intervient dans un contexte social de plus en plus difficile, comme on l’a vu en France avec le mouvement des « gilets jaunes ».
Région par région, Janus Henderson observe que les versements de dividendes ont été modestes en Europe en France et en Allemagne, mais le premier trimestre n’est traditionnellement pas une période où les entreprises européennes attribuent des récompenses à leurs actionnaires. Malgré tout, l’Europe (hors Royaume-Uni) a versé 9,2% de dividendes en plus à 40 milliards. C’est en Asie-Pacifique où la croissance des dividendes a été la plus forte : 18,1 milliards de dollars, +14,7%. Au Royaume-Uni aussi, les entreprises ont régalé : 20,7 milliards, +10,5%. Les dividendes ont augmenté de 8,3% aux États-Unis, à 122,5 milliards.