Lors d’une interview à NBC, Donald Trump a tout simplement menacé de sortir les États-Unis de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), l’organisme qui fait office de gendarme mondial du commerce. Le candidat républicain veut renégocier les accords noués entre les États-Unis et le reste du monde. Ils sont en effet qualifiés de « désastreux » par le prétendant à la Maison Blanche.
Trump veut instaurer une taxe sur les produits aux produits des entreprises américaines fabriqués à l’extérieur du pays. Cette taxe serait de « 25%, 30%, 15% », a-t-il calculé, en déclarant n’avoir rien décidé sur le sujet. Cette taxe pourrait aussi être « différente selon les entreprises ». Un système « à la carte » qui ne fera pas les affaires de la quasi-totalité des multinationales américaines qui font produire au Mexique, en Chine et ailleurs.
Plus globalement, Trump estime que les accords commerciaux ont été signés au détriment des États-Unis. Il expliquait il y a quelques mois qu’il ne pouvait laisser la Chine continuer de « violer » le pays. Avec une réthorique aussi guerrière, les relations s’annoncent donc très compliquées entre les États-Unis et le reste du monde. Nul doute d’ailleurs que la Chine saura rapidement rappeler à Donald Trump qu’elle possède beaucoup d’actifs américains.
Trump veut instaurer une taxe sur les produits aux produits des entreprises américaines fabriqués à l’extérieur du pays. Cette taxe serait de « 25%, 30%, 15% », a-t-il calculé, en déclarant n’avoir rien décidé sur le sujet. Cette taxe pourrait aussi être « différente selon les entreprises ». Un système « à la carte » qui ne fera pas les affaires de la quasi-totalité des multinationales américaines qui font produire au Mexique, en Chine et ailleurs.
Plus globalement, Trump estime que les accords commerciaux ont été signés au détriment des États-Unis. Il expliquait il y a quelques mois qu’il ne pouvait laisser la Chine continuer de « violer » le pays. Avec une réthorique aussi guerrière, les relations s’annoncent donc très compliquées entre les États-Unis et le reste du monde. Nul doute d’ailleurs que la Chine saura rapidement rappeler à Donald Trump qu’elle possède beaucoup d’actifs américains.