© Shutterstock/EconomieMatin
L'EasyFoodstore, ouvert dans la banlieue nord de Londres, s'inspire des boutiques du réseau japonais 100-Yen Shop, des magasins où l'on trouve des produits à prix fixe. La déclinaison anglaise telle qu'imaginée par EasyGroup propose des denrées alimentaires à 25 pences, un prix d'attaque pour le lancement : ensuite, ils coûteront deux fois plus cher… ce qui ne représente pas grand chose.
Pour ce prix, on n'aura pas réellement le choix. La sélection se limite à 76 références, et on n'y trouvera évidemment rien de marque. Mais il sera possible de s'y fournir en jus d'orange, gâteaux, thé ou café. Les produits sont présentés sans flonflons, sur de simples étagères, dans un espace de quelques dizaines de mètres carrés. Une ambiance qui rappelle bien sûr les hard discounters.
L'EasyFoodstore se fournit auprès d'Euro Shopper, une centrale d'achats basée aux Pays-Bas, dont la société-mère AMS est à but non lucratif. Il n'est cependant pas question pour EasyGroup de faire preuve de philanthropie : ce magasin (et les suivants qui ne manqueront pas de pousser un peu partout si le test est concluant) vise une clientèle bien précise, les « travailleurs pauvres », qui n'ont pas les moyens de faire leurs courses chez les hard discounters. Une cible comme une autre.
Pour ce prix, on n'aura pas réellement le choix. La sélection se limite à 76 références, et on n'y trouvera évidemment rien de marque. Mais il sera possible de s'y fournir en jus d'orange, gâteaux, thé ou café. Les produits sont présentés sans flonflons, sur de simples étagères, dans un espace de quelques dizaines de mètres carrés. Une ambiance qui rappelle bien sûr les hard discounters.
L'EasyFoodstore se fournit auprès d'Euro Shopper, une centrale d'achats basée aux Pays-Bas, dont la société-mère AMS est à but non lucratif. Il n'est cependant pas question pour EasyGroup de faire preuve de philanthropie : ce magasin (et les suivants qui ne manqueront pas de pousser un peu partout si le test est concluant) vise une clientèle bien précise, les « travailleurs pauvres », qui n'ont pas les moyens de faire leurs courses chez les hard discounters. Une cible comme une autre.