LVMH, le numéro un français et mondial du luxe, affiche des ventes annuelles qui s'approchent des 40 milliards d'euros. Le groupe, qui possède 70 maisons de mode en tout genre ainsi que des vins et spiritueux, compte 105 sites de production en France. LVMH en a créé dix entre 2014 et 2015. L'an dernier, ce sont plus d'un millier d'emplois que l'entreprise a créée (en prenant en compte les départs, cela représente plus de 4 000 emplois). Dont 93% de contrats à durée indéterminée… Pour 2017, la tendance est également au beau fixe.
L'éternel rival et numéro deux du marché mondial, Kering, emploie dans sa division luxe près de 2 000 personnes en France. C'est 13% de plus sur trois ans. Le groupe Hermès, qui fait fabriquer 85% de sa production dans l'hexagone, est à l'origine de 2 400 nouveaux postes en cinq ans.
Le luxe, c'est donc un secteur économique en pleine expansion. Il n'est d'ailleurs pas anodin que ce soit LVMH qui soit devenu la première capitalisation boursière de la place de Paris. Les marques françaises ont su conserver une bonne partie de leur savoir-faire et du parfum d'exclusivité qui leur donne toute leur valeur aux yeux de la clientèle. C'est le cas en particulier dans la joaillerie et la maroquinerie, où le « made in France » reste toujours aussi vendeur.
L'éternel rival et numéro deux du marché mondial, Kering, emploie dans sa division luxe près de 2 000 personnes en France. C'est 13% de plus sur trois ans. Le groupe Hermès, qui fait fabriquer 85% de sa production dans l'hexagone, est à l'origine de 2 400 nouveaux postes en cinq ans.
Le luxe, c'est donc un secteur économique en pleine expansion. Il n'est d'ailleurs pas anodin que ce soit LVMH qui soit devenu la première capitalisation boursière de la place de Paris. Les marques françaises ont su conserver une bonne partie de leur savoir-faire et du parfum d'exclusivité qui leur donne toute leur valeur aux yeux de la clientèle. C'est le cas en particulier dans la joaillerie et la maroquinerie, où le « made in France » reste toujours aussi vendeur.