L'indice d'avril ressort à 56,9, alors qu'il était en mars de 56,3. Un chiffre bien au-delà de la moyenne historique, et qui continue d'afficher une expansion. Cela signale une hausse de l'activité globale en France en début de second trimestre, portée en particulier par les services : l'indice Flash concernant ce secteur est de 57,4 pour avril, contre 56,9 pour le mois de mars. La production manufacturière est en dessous, mais reste au-delà de la moyenne historique avec 54,7, contre 53,9 pour le mois de mars.
Ces niveaux sont équivalents voire supérieurs aux prévisions. IHS Markit note que l'activité globale du secteur privé en France reste orientée à la hausse, avec une croissance qui s'accélère en avril par rapport au mois de mars. La reprise de l'économie française conserve donc toute sa vigueur, même après un ralentissement observé en février et en mars. Globalement, la conjoncture reste bien orientée et dynamique et ce, dans les deux principaux secteurs que sont les services et l'industrie manufacturière.
IHS Markit note néanmoins que « ce regain d'activité doit toutefois être apprécié au regard des forts ralentissements observés en février et en mars », selon l'économiste Alex Gill. À cet égard, il faudra surveiller de près l'impact des conflits sociaux qui, en particulier à la SNCF, sont susceptibles de ralentir les échanges et donc l'activité. Bruno Le Maire, le ministre de l'Économie, a déjà eu l'occasion de prévenir que les grèves à répétition pouvaient peser sur la croissance.
Ces niveaux sont équivalents voire supérieurs aux prévisions. IHS Markit note que l'activité globale du secteur privé en France reste orientée à la hausse, avec une croissance qui s'accélère en avril par rapport au mois de mars. La reprise de l'économie française conserve donc toute sa vigueur, même après un ralentissement observé en février et en mars. Globalement, la conjoncture reste bien orientée et dynamique et ce, dans les deux principaux secteurs que sont les services et l'industrie manufacturière.
IHS Markit note néanmoins que « ce regain d'activité doit toutefois être apprécié au regard des forts ralentissements observés en février et en mars », selon l'économiste Alex Gill. À cet égard, il faudra surveiller de près l'impact des conflits sociaux qui, en particulier à la SNCF, sont susceptibles de ralentir les échanges et donc l'activité. Bruno Le Maire, le ministre de l'Économie, a déjà eu l'occasion de prévenir que les grèves à répétition pouvaient peser sur la croissance.