© Shutterstock/EconomieMatin
Le chiffre laisse rêveur bon nombre de dirigeants européens. En septembre, le taux de chômage aux États-Unis est très proche du plein emploi, à 5,1%. Il se trouve cependant que la création d'emplois est bien moins forte qu'espéré par le consensus des économistes : ces derniers annonçaient 205 000 créations de postes, mais finalement l'économie américaine n'en a créé que 142 000.
De quoi nourrir quelques craintes pour l'avenir, ce d'autant que pour le second mois consécutif l'industrie a détruit des emplois. Il semble que la principale « coupable » de ces résultats mi figue mi raisin soit la hausse du dollar face aux autres monnaies. Depuis quelques mois, les marchés anticipent une hausse des taux d'intérêt de la Fed, ce qui a pour effet d'enchérir le coût du dollar face notamment à l'euro.
Or, avec des résultats qui laissent présager des heures plus difficiles pour l'économie US, la Fed va sans aucun doute continuer sa politique de taux bas afin de soutenir les entreprises et l'industrie du pays. C'est encore plus vrai avec la baisse d'un cent du salaire moyen horaire, ce qui ne poussera certainement pas l'inflation.
De quoi nourrir quelques craintes pour l'avenir, ce d'autant que pour le second mois consécutif l'industrie a détruit des emplois. Il semble que la principale « coupable » de ces résultats mi figue mi raisin soit la hausse du dollar face aux autres monnaies. Depuis quelques mois, les marchés anticipent une hausse des taux d'intérêt de la Fed, ce qui a pour effet d'enchérir le coût du dollar face notamment à l'euro.
Or, avec des résultats qui laissent présager des heures plus difficiles pour l'économie US, la Fed va sans aucun doute continuer sa politique de taux bas afin de soutenir les entreprises et l'industrie du pays. C'est encore plus vrai avec la baisse d'un cent du salaire moyen horaire, ce qui ne poussera certainement pas l'inflation.