Barack Obama vient de faire chuter le chômage à 7,2 %.
Ainsi, en septembre, les créations nettes d'emplois atteignent, seulement, 148 000 postes aux Etats-Unis. Ce chiffre est de loin inférieur à la moyenne des six derniers mois aux Etats-Unis qui est de 163 000, mais surtout par rapport aux attentes des observateurs, qui envisageaient 180 000 nouveaux emplois le mois dernier.
Malgré cela, il faut tout de même reconnaître à Barack Obama d'avoir fait retombé le taux de chômage, au plus bas, depuis son arrivée à la Maison-Blanche. Ce dernier vient de tomber à 7,2 %, en baisse de 0,1 %. Même si on sait que cette baisse est principalement due à un retrait de nombreux Américains, découragés par les perspectives actuelles, c'est un élément à prendre en compte.
Néanmoins, ces résultats risquent fort de conforter la Fed, la Banque fédérale américaine, à rester dans sa stratégie d'attentisme. Le mois dernier, et à la stupeur générale, la banque avait maintenu son programme d'assouplissement quantitatif. Elle continue donc d'acheter des milliards de dollars d'actifs immobiliers, chaque mois.
De plus, du fait des mauvaises estimations de croissance causées par le shutdown du début du mois, le repli de la politique accommodante de la Fed risque bien d'être repoussé en 2014. Du moins, c'est ce que prévoit Ben Bernanke, l'actuel directeur de la Fed, qui sera remplacé en janvier par Janet Yellen, une spécialiste de l'emploi qui porte une attention soutenue sur ses développements.
Malgré cela, il faut tout de même reconnaître à Barack Obama d'avoir fait retombé le taux de chômage, au plus bas, depuis son arrivée à la Maison-Blanche. Ce dernier vient de tomber à 7,2 %, en baisse de 0,1 %. Même si on sait que cette baisse est principalement due à un retrait de nombreux Américains, découragés par les perspectives actuelles, c'est un élément à prendre en compte.
Néanmoins, ces résultats risquent fort de conforter la Fed, la Banque fédérale américaine, à rester dans sa stratégie d'attentisme. Le mois dernier, et à la stupeur générale, la banque avait maintenu son programme d'assouplissement quantitatif. Elle continue donc d'acheter des milliards de dollars d'actifs immobiliers, chaque mois.
De plus, du fait des mauvaises estimations de croissance causées par le shutdown du début du mois, le repli de la politique accommodante de la Fed risque bien d'être repoussé en 2014. Du moins, c'est ce que prévoit Ben Bernanke, l'actuel directeur de la Fed, qui sera remplacé en janvier par Janet Yellen, une spécialiste de l'emploi qui porte une attention soutenue sur ses développements.