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Ce sont ainsi 21,5 millions de personnes qui ont vu leurs données confidentielles et celles de leurs proches (enfants et conjoints) subtilisés par des pirates. L’attaque a été réalisé sur les serveurs de l’OPM (Office of Personnel Management), un organisme qui gère les effectifs du gouvernement fédéral. À l’origine, les autorités estimaient que 4 millions de fonctionnaires « seulement » avaient été touchés. L’ampleur de l’intrusion est donc bien plus importante : à 4 millions, il s’agissait déjà de l’un des vols de données les plus importants de l’histoire…
Les personnes affectées par ce piratage à grande échelle sont près de 20 millions de salariés ayant subi une vérification de leurs antécédents ; les quelques 2 millions restants sont en majorité des épouses ou des proches. Parmi les informations les plus prisées par les pirates, on trouve les numéros de sécurité sociale ainsi que d’autres numéros d’identification.
Le Washington Post croit savoir que le coup a été orchestré par des pirates chinois particulièrement au fait des mesures de protection mis en place par le gouvernement fédéral, puisque ce dernier devait justement sécuriser les serveurs de l’OPM par le biais de nouvelles procédures.
Les personnes affectées par ce piratage à grande échelle sont près de 20 millions de salariés ayant subi une vérification de leurs antécédents ; les quelques 2 millions restants sont en majorité des épouses ou des proches. Parmi les informations les plus prisées par les pirates, on trouve les numéros de sécurité sociale ainsi que d’autres numéros d’identification.
Le Washington Post croit savoir que le coup a été orchestré par des pirates chinois particulièrement au fait des mesures de protection mis en place par le gouvernement fédéral, puisque ce dernier devait justement sécuriser les serveurs de l’OPM par le biais de nouvelles procédures.