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La première estimation, qui date du mois d’octobre, était de 3,6%. Le Fonds monétaire international avait ensuite ajusté à la baisse cette précision en janvier : cette fois, il fallait s’attendre à une croissance de 3,4% pour cette année. Durant la prochaine réunion qui se tiendra à Shanghaï cette fin de semaine, le FMI annonce qu’une nouvelle révision à la baisse du PIB mondial est à craindre.
Les craintes sont de plus en plus fortes concernant la santé de l’économie mondiale. Il y a bien évidemment le ralentissement de la croissance en Chine qui a un impact sur toutes les économies interconnectées ; le FMI identifie également le risque des matières premières à des prix toujours orientés vers la baisse. Les places financières continuent de réagir négativement, ce qui a pour conséquence de resserrer les conditions financières pour les pays émergents.
À tout cela, s’ajoutent les crises sporadiques, qu’il s’agisse des conflits, du terrorisme, ou des épidémies (dernier exemple en date : le Zika), qui pèsent sur l’activité économique. Pour ce qui concerne les pays développés, le FMI préconise de poursuivre la politique monétaire souple, et à mettre en œuvre des réformes structurelles.
Les craintes sont de plus en plus fortes concernant la santé de l’économie mondiale. Il y a bien évidemment le ralentissement de la croissance en Chine qui a un impact sur toutes les économies interconnectées ; le FMI identifie également le risque des matières premières à des prix toujours orientés vers la baisse. Les places financières continuent de réagir négativement, ce qui a pour conséquence de resserrer les conditions financières pour les pays émergents.
À tout cela, s’ajoutent les crises sporadiques, qu’il s’agisse des conflits, du terrorisme, ou des épidémies (dernier exemple en date : le Zika), qui pèsent sur l’activité économique. Pour ce qui concerne les pays développés, le FMI préconise de poursuivre la politique monétaire souple, et à mettre en œuvre des réformes structurelles.