Désorganisation chez Facebook
Durant la présentation des derniers résultats trimestriels de son entreprise, Mark Zuckerberg avait fait miroiter une « année de l'efficacité » pour Meta. La déclaration avait alors séduit les marchés financiers, inquiets par les investissements colossaux du groupe dans le « métaverse », dont le développement coûte un milliard de dollars chaque mois sans que les retours soient pour le moment au rendez-vous.
Meta a également procédé à des licenciements massifs et demandé aux cadres et aux managers de prendre une part plus active dans les opérations. Cette réorganisation provoque pour le moment l'effet inverse de celui souhaité par le fondateur de Facebook. Selon le Financial Times, de nombreux salariés de l'entreprise se retrouvent en effet à se tourner les pouces.
Meta a également procédé à des licenciements massifs et demandé aux cadres et aux managers de prendre une part plus active dans les opérations. Cette réorganisation provoque pour le moment l'effet inverse de celui souhaité par le fondateur de Facebook. Selon le Financial Times, de nombreux salariés de l'entreprise se retrouvent en effet à se tourner les pouces.
Des prises de décision trop longues
Le départ de plusieurs managers et certaines équipes décimées ont eu pour effet de générer beaucoup d'incertitudes autour de projets. Sans oublier que de nouveaux licenciements ne sont pas à exclure… Les plannings sont complètement désorganisés, tout comme le processus décisionnel : quand il ne fallait que quelques jours pour valider ou pas un projet, désormais l'attente est d'un mois. De quoi déboussoler bon nombre de salariés.
À cela vient se greffer une évolution possible de la stratégie de Mark Zuckerberg. Lui qui n'avait que le mot « métaverse » à la bouche donne l'impression de pivoter vers un nouvel horizon, celui de l'intelligence artificielle qui est très à la mode actuellement dans le secteur des technologies. Tous ces investissements dans les nouveaux mondes virtuels vont-ils aboutir à quelque chose ?
À cela vient se greffer une évolution possible de la stratégie de Mark Zuckerberg. Lui qui n'avait que le mot « métaverse » à la bouche donne l'impression de pivoter vers un nouvel horizon, celui de l'intelligence artificielle qui est très à la mode actuellement dans le secteur des technologies. Tous ces investissements dans les nouveaux mondes virtuels vont-ils aboutir à quelque chose ?