Les véhicules autonomes, avec délégation partielle ou totale de conduite, sont considérés par l’Élysée comme une étape « incontournable vers une mobilité apaisée ». Ils permettent également une meilleure régularisation des trafics, continuent à une plus grande sécurisation de la route, ainsi qu’à un meilleur respect de l’environnement.
De fait, feu vert a été donné aux constructeurs de ces véhicules pour circuler sur les routes françaises, à des fins d’expérimentations. Jusqu’à présent, les voitures autonomes étaient circonscrites à des circuits fermés. L’ordonnance du Conseil des ministres introduit la notion « d'autorisation de circulation sur la voie publique spécifique à l'expérimentation ». Il s’agit pour l’exécutif de mettre sur pied un cadre réglementaire « solide ».
L’objectif de ce feu vert est de faire en sorte que la France soit reconnue comme une « terre d’expérimentation du véhicule autonome ». Dans la course industrielle actuelle qui se mène partout dans le monde, ce peut être un atout essentiel. Il s’agit en bout de course de « préparer les nouvelles mobilités de demain ».
De fait, feu vert a été donné aux constructeurs de ces véhicules pour circuler sur les routes françaises, à des fins d’expérimentations. Jusqu’à présent, les voitures autonomes étaient circonscrites à des circuits fermés. L’ordonnance du Conseil des ministres introduit la notion « d'autorisation de circulation sur la voie publique spécifique à l'expérimentation ». Il s’agit pour l’exécutif de mettre sur pied un cadre réglementaire « solide ».
L’objectif de ce feu vert est de faire en sorte que la France soit reconnue comme une « terre d’expérimentation du véhicule autonome ». Dans la course industrielle actuelle qui se mène partout dans le monde, ce peut être un atout essentiel. Il s’agit en bout de course de « préparer les nouvelles mobilités de demain ».