cc/flickr/ChryslerGroup
Mais Sergio Marchionne, qui dans une interview au journal italien La Repubblica a détaillé les projets du groupe pour ses marques, notamment Fiat, Alfa Romeo et Maserati, devrait avoir rassuré l’opinion publique.
Marchionne s’est engagé, si le marché le permet, à faire « revenir tous les ouvriers » car il croit fort à la relance de diverses marques. Notamment Alfa Romeo pour qui le groupe a « divers modèles en préparation » qui devraient être dévoilés en avril prochain. Alfa Romeo qui se situe désormais au centre de la stratégie de relance de Fiat.
Marchionne veut en faire le haut de gamme de Fiat, à l’instar d’Audi pour VolksWagen, c’est-à-dire ramener la marque à ses origines. Quant à Fiat, de son côté, elle retourne aussi à ses origines : Marchionne veut en faire la marque « mass market », comme il fut un temps. Un marché toutefois compliqué où « les concurrents sont nombreux », « le futur incertain » et « les clients peu nombreux » estime l’administrateur délégué de Fiat.
Lors de la sortie du premier modèle de Fiat 500, par exemple, le prix était calculé pour que tous les ouvriers puissent se permettre une voiture, devenant ainsi la voiture du peuple par excellence.
La stratégie de Fiat est également de se servir de Chrysler surtout au niveau du marché et de ses revendeurs : « si aujourd’hui je me présente avec une Alfa aux Etats-Unis, j’ai un réseau de 2 300 revendeurs capable de vendre le modèle partout aux Etats-Unis » a mis en avant Sergio MArchionne.
Marchionne s’est engagé, si le marché le permet, à faire « revenir tous les ouvriers » car il croit fort à la relance de diverses marques. Notamment Alfa Romeo pour qui le groupe a « divers modèles en préparation » qui devraient être dévoilés en avril prochain. Alfa Romeo qui se situe désormais au centre de la stratégie de relance de Fiat.
Marchionne veut en faire le haut de gamme de Fiat, à l’instar d’Audi pour VolksWagen, c’est-à-dire ramener la marque à ses origines. Quant à Fiat, de son côté, elle retourne aussi à ses origines : Marchionne veut en faire la marque « mass market », comme il fut un temps. Un marché toutefois compliqué où « les concurrents sont nombreux », « le futur incertain » et « les clients peu nombreux » estime l’administrateur délégué de Fiat.
Lors de la sortie du premier modèle de Fiat 500, par exemple, le prix était calculé pour que tous les ouvriers puissent se permettre une voiture, devenant ainsi la voiture du peuple par excellence.
La stratégie de Fiat est également de se servir de Chrysler surtout au niveau du marché et de ses revendeurs : « si aujourd’hui je me présente avec une Alfa aux Etats-Unis, j’ai un réseau de 2 300 revendeurs capable de vendre le modèle partout aux Etats-Unis » a mis en avant Sergio MArchionne.