Le nombre d'inscrits à Pôle Emploi a ainsi augmenté de 1% le mois dernier : on comptait en juillet 3 518 000 chômeurs de catégorie A (n'ayant pas du tout travaillé sur le mois) en France métropolitaine. Ce sont 34 900 personnes de plus. Sur un an, la progression est moins forte puisqu'elle n'est « que » de 0,1%. Les personnes des catégories A, B et C ont progressé de 1,1% sur le seul mois de juillet, soit 58 800 inscriptions supplémentaires. Sur les trois derniers mois, ce chiffre progresse de 1,6% (86 400 personnes en plus), et sur un an la hausse est de 3,1%.
Le chômage de longue durée est lui aussi en hausse de 0,8% sur le mois. Ils sont désormais 2,46 millions à ne pas exercer d'activité depuis plus d'un en métropole. Quant aux chômeurs seniors, leur nombre a augmenté de 0,3% en juillet ; sur un an, la situation de cette catégorie n'est guère enviable avec une augmentation particulièrement forte (+3,8%).
Parmi les raisons qui peuvent expliquer cette hausse forte du chômage enregistrée en juillet, on trouve les inscriptions dans la catégorie A des personnes se trouvant dans la catégorie D, celle qui concerne les stages, les formations. Cette dernière a reculé de 4% sur le mois, ce qui signifie que beaucoup d'entre eux ont rejoint les chômeurs n'ayant exercé aucune activité en juillet. Pas de quoi fanfaronner donc, malgré la baisse enregistrée par l'Insee pour le deuxième trimestre (-0,1 point).
Le chômage de longue durée est lui aussi en hausse de 0,8% sur le mois. Ils sont désormais 2,46 millions à ne pas exercer d'activité depuis plus d'un en métropole. Quant aux chômeurs seniors, leur nombre a augmenté de 0,3% en juillet ; sur un an, la situation de cette catégorie n'est guère enviable avec une augmentation particulièrement forte (+3,8%).
Parmi les raisons qui peuvent expliquer cette hausse forte du chômage enregistrée en juillet, on trouve les inscriptions dans la catégorie A des personnes se trouvant dans la catégorie D, celle qui concerne les stages, les formations. Cette dernière a reculé de 4% sur le mois, ce qui signifie que beaucoup d'entre eux ont rejoint les chômeurs n'ayant exercé aucune activité en juillet. Pas de quoi fanfaronner donc, malgré la baisse enregistrée par l'Insee pour le deuxième trimestre (-0,1 point).