(c) Shutterstock/EconomieMatin
La bande de fréquences des 700 Mhz, dite « fréquences en or », sont capitales et stratégiques pour les opérateurs de téléphonie mobile. Auparavant dévolues à la télévision numérique terrestre, ces fréquences vont être allouées aux opérateurs et leur permettre de mieux diffuser la 4G dans les bâtiments.
C’est aussi un enjeu capital pour l’État, qui attend de cette attribution la bagatelle de 2 milliards d’euros, une somme qui a d’ores et déjà été inscrite dans le projet de loi sur les finances 2015. Elle doit servir à financer le budget de la Défense…
C’est l’Arcep, le gendarme des télécoms, qui gère le dossier. En juillet, l’autorité de régulation lancera l’appel à candidatures, assorti de conditions comme l’amélioration de la couverture 4G et de la qualité du service dans certains territoires. Autant dire qu’il ne suffira pas de décrocher une fréquence : il faudra aussi l’exploiter, ce qui signifie investir encore.
Et Free Mobile va sans doute là encore jouer la mouche du coche : l’opérateur trublion, dont le réseau est moins développé que chez la concurrence, estime devoir bénéficier d’une garantie : il veut qu’une partie des fréquences lui soit attribuée. Évidemment, la concurrence ne l’entend pas de cette oreille. Les résultats seront connus en décembre.
C’est aussi un enjeu capital pour l’État, qui attend de cette attribution la bagatelle de 2 milliards d’euros, une somme qui a d’ores et déjà été inscrite dans le projet de loi sur les finances 2015. Elle doit servir à financer le budget de la Défense…
C’est l’Arcep, le gendarme des télécoms, qui gère le dossier. En juillet, l’autorité de régulation lancera l’appel à candidatures, assorti de conditions comme l’amélioration de la couverture 4G et de la qualité du service dans certains territoires. Autant dire qu’il ne suffira pas de décrocher une fréquence : il faudra aussi l’exploiter, ce qui signifie investir encore.
Et Free Mobile va sans doute là encore jouer la mouche du coche : l’opérateur trublion, dont le réseau est moins développé que chez la concurrence, estime devoir bénéficier d’une garantie : il veut qu’une partie des fréquences lui soit attribuée. Évidemment, la concurrence ne l’entend pas de cette oreille. Les résultats seront connus en décembre.