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Cette décision intervient alors que les choses commencent à se décanter doucement en Grèce. Ce jeudi 16 juillet, les dirigeants européens ont convenu d’un prêt d’urgence de 7 milliards d’euros à Athènes, qui va pouvoir rembourser à la BCE une créance de 3,5 milliards due avant le 20 juillet.
La veille mercredi 15 juillet, le parlement grec votait l’adoption de sévères mesures de rigueur décidées par les institutions et Alexis Tsipras. Les banques du pays seront également recapitalisées à hauteur de 25 milliards d’euros. La faillite, probable hier, semble donc s’éloigner.
Ce faisceau de mesures a décidé la Banque centrale européenne de relever le plafond des prêts d’urgence accordés aux banques grecques. Celui-ci est désormais de 900 millions sur une semaine. Ces financements d’urgence avaient atteint le plafond de verre des 89 milliards d’euros, et il n’était plus relevé depuis fin juin devant les incertitudes du pays.
Mario Draghi, le patron de la BCE, a déclaré qu’au vu des dernières actualités, la Grèce est et restera ancrée dans la zone euro. Plus rien ne s’opposait donc à nouveau coup de main… En attendant la prochaine bourrasque ?
La veille mercredi 15 juillet, le parlement grec votait l’adoption de sévères mesures de rigueur décidées par les institutions et Alexis Tsipras. Les banques du pays seront également recapitalisées à hauteur de 25 milliards d’euros. La faillite, probable hier, semble donc s’éloigner.
Ce faisceau de mesures a décidé la Banque centrale européenne de relever le plafond des prêts d’urgence accordés aux banques grecques. Celui-ci est désormais de 900 millions sur une semaine. Ces financements d’urgence avaient atteint le plafond de verre des 89 milliards d’euros, et il n’était plus relevé depuis fin juin devant les incertitudes du pays.
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