Ce jeudi 25 janvier, Ariane 5 a connu un incident un peu plus de 9 minutes après son décollage de Kourou, en Guyane. Arianespace a perdu le contact avec le lanceur, provoquant une déviation de la trajectoire selon les premières constatations de l'enquête. Malgré tout, la fusée a pu placer les deux satellites qu'elle emportait, malheureusement pas sur la bonne orbite et avec une mauvaise inclinaison. Malgré tout, il sera possible de repositionner les satellites en utilisant leur système de propulsion.
L'opérateur luxembourgeois SES, propriétaire du premier satellite SES-14, a confirmé la « bonne santé » de l'appareil. D'ici quelques mois, il sera capable de remplir sa mission. Quant au second satellite Al Yah 3 de l'opérateur Yahsat (Émirats Arabes Unis), aucune panique non plus : le satellite fonctionne « nominalement » selon Eutelsat qui en loue une partie des capacités, et son plan de vol révisé sera déployé pour qu'il atteigne son orbite opérationnelle. Plus de peur que de mal finalement, mais cet incident n'en a pas moins provoqué une baisse sensible de SES et d'Eutelsat ce vendredi.
Arianespace peut aussi se targuer d'avoir réussi 82 lancements jusqu'à présent. Cette grosse frayeur ne doit donc pas cacher le succès des missions précédentes, ce d'autant que les satellites devraient finalement fonctionner correctement à l'avenir. L'entreprise est détenue par Airbus et Safran à hauteur de 74%.
L'opérateur luxembourgeois SES, propriétaire du premier satellite SES-14, a confirmé la « bonne santé » de l'appareil. D'ici quelques mois, il sera capable de remplir sa mission. Quant au second satellite Al Yah 3 de l'opérateur Yahsat (Émirats Arabes Unis), aucune panique non plus : le satellite fonctionne « nominalement » selon Eutelsat qui en loue une partie des capacités, et son plan de vol révisé sera déployé pour qu'il atteigne son orbite opérationnelle. Plus de peur que de mal finalement, mais cet incident n'en a pas moins provoqué une baisse sensible de SES et d'Eutelsat ce vendredi.
Arianespace peut aussi se targuer d'avoir réussi 82 lancements jusqu'à présent. Cette grosse frayeur ne doit donc pas cacher le succès des missions précédentes, ce d'autant que les satellites devraient finalement fonctionner correctement à l'avenir. L'entreprise est détenue par Airbus et Safran à hauteur de 74%.